Loulou
par Jacques Helian
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Loulou, c´était dans son village
La plus jolie des alentours
Tous les garçons du voisinage
Se jalousaient pour lui faire la cour
Son amoureux, un ami de jeunesse
Le soir, au bal en la faisant danser
Disait tout bas ces mots pleins de tendresse
En la voyant frivole au cœur léger :
{Refrain:}
Je le vois bien, Loulou
Tu es bien trop jolie
Pour accepter la vie
Trop simple de chez nous
Tu aimes les bijoux
La grande vie t´appelle
Loulou, tu es trop belle!
Et moi, j´en suis jaloux
Et maintenant, Loulou quitte son village
Elle partit vers la grand-ville
Croyant là-bas, comme un roman
Vivre sa vie, douce et facile
Et rencontrer quelque prince charmant
Mais à quoi bon les bijoux les toilettes
Qu´il faut payer par un baiser menteur?
Et tristement souvent, les soirs de fête
Un souvenir venait dire en son cœur :
{au Refrain}
Ah! Ah! Loulou!
Reviens, reviens, Loulou!
Mais au pavé des capitales
Les fleurs des champs ne vivent pas
Fanées trop tôt, elles exhalent
Tous leurs parfums, leurs beautés, leurs appâts
Ayant pris froid par une nuit d´automne
C´est au pays qu´il fallut revenir
Où son ami lui dit : Je te pardonne
Je t´aime tant, je saurai te guérir!
Tu le vois bien, Loulou
Comme une fleur jolie
Tu renais à la vie
Au soleil de chez nous
Ah! Je ne suis plus jaloux
Et c´est mon cœur, mon cœur qui t´appelle
Il t´est resté fidèle
Viens, ma jolie Loulou!
La plus jolie des alentours
Tous les garçons du voisinage
Se jalousaient pour lui faire la cour
Son amoureux, un ami de jeunesse
Le soir, au bal en la faisant danser
Disait tout bas ces mots pleins de tendresse
En la voyant frivole au cœur léger :
{Refrain:}
Je le vois bien, Loulou
Tu es bien trop jolie
Pour accepter la vie
Trop simple de chez nous
Tu aimes les bijoux
La grande vie t´appelle
Loulou, tu es trop belle!
Et moi, j´en suis jaloux
Et maintenant, Loulou quitte son village
Elle partit vers la grand-ville
Croyant là-bas, comme un roman
Vivre sa vie, douce et facile
Et rencontrer quelque prince charmant
Mais à quoi bon les bijoux les toilettes
Qu´il faut payer par un baiser menteur?
Et tristement souvent, les soirs de fête
Un souvenir venait dire en son cœur :
{au Refrain}
Ah! Ah! Loulou!
Reviens, reviens, Loulou!
Mais au pavé des capitales
Les fleurs des champs ne vivent pas
Fanées trop tôt, elles exhalent
Tous leurs parfums, leurs beautés, leurs appâts
Ayant pris froid par une nuit d´automne
C´est au pays qu´il fallut revenir
Où son ami lui dit : Je te pardonne
Je t´aime tant, je saurai te guérir!
Tu le vois bien, Loulou
Comme une fleur jolie
Tu renais à la vie
Au soleil de chez nous
Ah! Je ne suis plus jaloux
Et c´est mon cœur, mon cœur qui t´appelle
Il t´est resté fidèle
Viens, ma jolie Loulou!