L'année à l'envers
par Jacques Higelin
lyricscopy.com
Avril succède à mai
Et mars vient juste après
Ah, quell´ drôle de saison
Que nous vivons, que nous vivons
Et puis c´est février
Suivi du mois d´janvier
Décembre va venir
On ne sais plus quoi dire
L´année passée l´année passée
C´était beaucoup plus calme
Mais c´te drôle d´année renversée
Ne manqu´ pas d´charme
Décembre est dépassé
Novembre a commencé
Si ça pouvait seulement
Durer longtemps, durer longtemps
Si ça pouvait durer
Jusqu´au mois de juillet
Jusqu´à ce foutu soir
Où tu m´as laissé choir
Le soir très doux d´un jour heureux
Où j´avais pris tes lèvres
Quand je repense à tes yeux bleus
J´en ai la fièvre
Voilà qu´octobre arrive
Et passe à la dérive
Septembre accourt derrière
C´est un mystère, c´est un mystère
L´mois d´août à l´horizon
Fredonne ces chansons
Vacances de l´an dernier
Que je vous ai pleurées!
Voilà juillet qui montre enfin
Sa tête blonde et sage
Si l´on retourne jusqu´en juin
J´crois aux mirages
Avril est revenu
Je marche dans la rue
J´ai rajeuni d´un an
C´est épatant, c´est épatant
Je frappe à la fenêtre
Tu daignes apparaître
Mais quoi, chose bizarre
Tu as de grands yeux noirs
Je me trompais, c´est une erreur
C´est bien l´année nouvelle
Voici ma vie... voici mon cœur
Venez, ma belle...
Et mars vient juste après
Ah, quell´ drôle de saison
Que nous vivons, que nous vivons
Et puis c´est février
Suivi du mois d´janvier
Décembre va venir
On ne sais plus quoi dire
L´année passée l´année passée
C´était beaucoup plus calme
Mais c´te drôle d´année renversée
Ne manqu´ pas d´charme
Décembre est dépassé
Novembre a commencé
Si ça pouvait seulement
Durer longtemps, durer longtemps
Si ça pouvait durer
Jusqu´au mois de juillet
Jusqu´à ce foutu soir
Où tu m´as laissé choir
Le soir très doux d´un jour heureux
Où j´avais pris tes lèvres
Quand je repense à tes yeux bleus
J´en ai la fièvre
Voilà qu´octobre arrive
Et passe à la dérive
Septembre accourt derrière
C´est un mystère, c´est un mystère
L´mois d´août à l´horizon
Fredonne ces chansons
Vacances de l´an dernier
Que je vous ai pleurées!
Voilà juillet qui montre enfin
Sa tête blonde et sage
Si l´on retourne jusqu´en juin
J´crois aux mirages
Avril est revenu
Je marche dans la rue
J´ai rajeuni d´un an
C´est épatant, c´est épatant
Je frappe à la fenêtre
Tu daignes apparaître
Mais quoi, chose bizarre
Tu as de grands yeux noirs
Je me trompais, c´est une erreur
C´est bien l´année nouvelle
Voici ma vie... voici mon cœur
Venez, ma belle...