Bien sûr
par Jean Lapointe
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Bien sûr, tes étoiles sont belles
Elles font rêver toutes les nuits
Bien sûr, c´est beau tes hirondelles
Tes montagnes et tes fleurs aussi
Bien sûr que je tombe à genoux
Devant tes milles galaxies
Pourtant ce ne serait rien du tout
Si tu n´avais fait aussi
Cette marée du fond de moi
Cette marée qui vient parfois
Avec la douceur des caresses
Cette marée que fait lever
L´enfant fragile à mes côtés
Et qu´on appelle la tendresse
Ce grand vent qui me prend partout
Qui me lève et me met debout
Pour me faire crier que je t´aime
Non tu n´aurais rien fait du tout
Si tu n´avais fait du même coup
Mon cœur qui sait lire tes poèmes
Bien sûr, ton univers m´étonne
Bien sûr que j´en suis amoureux
Pourtant la vie que tu nous donnes
Que serait-elle sans mes yeux
Sans mon cœur inondé de pluie
Surpris à pleurer pour l´ami
Et plein de pitié qui l´étonne
Sans ces orages en moi qui font
Du rouge partout sur mon front
Quand je crois que tu m´abandonnes
Et ce printemps de délivrance
Qui m´envahit comme une chance
Lorsque malgré tout je pardonne
Non tu n´aurais pas fait grand-chose
Sans ses yeux en qui tout repose
Et qui peuvent pleurer sur le monde
Sans la bourrasque qui me prend
Me met en route et au-devant
A la rencontre de la Terre
Sans la tourmente qui m´emporte
Vers les femmes que tu m´apportes
Qu´elles soient maîtresses ou filles ou mères
Sans la rafale qui m´arrache
A moi-même et qui me détache
Pour que je courre aider mon frère
Non tu vois même un univers
Ne serait rien sans la lumière
De tous ceux qui parlent d´amour
Elles font rêver toutes les nuits
Bien sûr, c´est beau tes hirondelles
Tes montagnes et tes fleurs aussi
Bien sûr que je tombe à genoux
Devant tes milles galaxies
Pourtant ce ne serait rien du tout
Si tu n´avais fait aussi
Cette marée du fond de moi
Cette marée qui vient parfois
Avec la douceur des caresses
Cette marée que fait lever
L´enfant fragile à mes côtés
Et qu´on appelle la tendresse
Ce grand vent qui me prend partout
Qui me lève et me met debout
Pour me faire crier que je t´aime
Non tu n´aurais rien fait du tout
Si tu n´avais fait du même coup
Mon cœur qui sait lire tes poèmes
Bien sûr, ton univers m´étonne
Bien sûr que j´en suis amoureux
Pourtant la vie que tu nous donnes
Que serait-elle sans mes yeux
Sans mon cœur inondé de pluie
Surpris à pleurer pour l´ami
Et plein de pitié qui l´étonne
Sans ces orages en moi qui font
Du rouge partout sur mon front
Quand je crois que tu m´abandonnes
Et ce printemps de délivrance
Qui m´envahit comme une chance
Lorsque malgré tout je pardonne
Non tu n´aurais pas fait grand-chose
Sans ses yeux en qui tout repose
Et qui peuvent pleurer sur le monde
Sans la bourrasque qui me prend
Me met en route et au-devant
A la rencontre de la Terre
Sans la tourmente qui m´emporte
Vers les femmes que tu m´apportes
Qu´elles soient maîtresses ou filles ou mères
Sans la rafale qui m´arrache
A moi-même et qui me détache
Pour que je courre aider mon frère
Non tu vois même un univers
Ne serait rien sans la lumière
De tous ceux qui parlent d´amour