Barcelone
par Jean Leloup
lyricscopy.com
Le soleil brille à Barcelone
Un Américain fell alone
Il ne sait pas ce qui l´attend
Au coin de la rue en rentrant
"Qu´il est loin mon pays natal!"
S´est dit la grosse Suédoise
Qui vient de se faire braquer par un
Negro sur rue des assassins
Le soleil fait chauffer la place
Où se retrouvent tous les paumés
Aux touristes font des grimaces
Les chiens, les chats, les pesetas
On a cherché les extasies
Mais c´était vraiment hors de prix
On s´est rabattu sur l´absinthe
A Barcelone, à Barcelone
La dèche m´attend
Je prends du vin
Et elle m´a laissé sur le carreau
La dèche m´attend
Je prends du vin
Elle est allée r´voir les toxicos
A Amsterdam
Les keufs sont habillés d´kaki
Sont vraiment fiers de leur képi
Ça va vite et puis patatrack
T´as reçu un coup de matraque
Les pompes sont réutilisables
Se disent les gamins qui s´amusent
A se lancer des gros cailloux
A Barcelone, à Barcelone
La dèche m´attend
Je prends du vin
Et elle m´a laissé sur le carreau
La dèche m´attend
Je prends du vin
Elle est allée r´voir les toxicos
On a volé tout le travail d´Anabel qui maintenant braille
Elle leur avait pourtant confié
Mais ils étaient bien trop bourrés :
Qui vaincra, bande d´enculés?
Le contrôleur, les garnements?
Pas de fric pour le supplément
A Barcelone, à Barcelone
La dèche m´attend
Je prends du vin
Et elle m´a laissé sur le carreau
La dèche m´attend
Je prends du vin
Elle est allée r´voir les toxicos
Amour quinze ans, insoutenable
Amour trente ans, presque invivable
Amour toujours inévitable
A Barcelone
La ville s´est faite tout belle
Je pense encore à Isabelle
Qui m´a laissé sur le carreau
Pour aller r´joindre les toxicos
Une fille qui s´endort dans un bar
Ses cheveux traînant dans la bière
Se sent comme une serpillière
A Amsterdam, à Amsterdam, à Amsterdam.
Un Américain fell alone
Il ne sait pas ce qui l´attend
Au coin de la rue en rentrant
"Qu´il est loin mon pays natal!"
S´est dit la grosse Suédoise
Qui vient de se faire braquer par un
Negro sur rue des assassins
Le soleil fait chauffer la place
Où se retrouvent tous les paumés
Aux touristes font des grimaces
Les chiens, les chats, les pesetas
On a cherché les extasies
Mais c´était vraiment hors de prix
On s´est rabattu sur l´absinthe
A Barcelone, à Barcelone
La dèche m´attend
Je prends du vin
Et elle m´a laissé sur le carreau
La dèche m´attend
Je prends du vin
Elle est allée r´voir les toxicos
A Amsterdam
Les keufs sont habillés d´kaki
Sont vraiment fiers de leur képi
Ça va vite et puis patatrack
T´as reçu un coup de matraque
Les pompes sont réutilisables
Se disent les gamins qui s´amusent
A se lancer des gros cailloux
A Barcelone, à Barcelone
La dèche m´attend
Je prends du vin
Et elle m´a laissé sur le carreau
La dèche m´attend
Je prends du vin
Elle est allée r´voir les toxicos
On a volé tout le travail d´Anabel qui maintenant braille
Elle leur avait pourtant confié
Mais ils étaient bien trop bourrés :
Qui vaincra, bande d´enculés?
Le contrôleur, les garnements?
Pas de fric pour le supplément
A Barcelone, à Barcelone
La dèche m´attend
Je prends du vin
Et elle m´a laissé sur le carreau
La dèche m´attend
Je prends du vin
Elle est allée r´voir les toxicos
Amour quinze ans, insoutenable
Amour trente ans, presque invivable
Amour toujours inévitable
A Barcelone
La ville s´est faite tout belle
Je pense encore à Isabelle
Qui m´a laissé sur le carreau
Pour aller r´joindre les toxicos
Une fille qui s´endort dans un bar
Ses cheveux traînant dans la bière
Se sent comme une serpillière
A Amsterdam, à Amsterdam, à Amsterdam.