L'ivrogne, le bossu
par Jean-Max Brua
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L´ivrogne, le bossu avec sa gueule de tangage
Ses mains crevées dans le soleil
Et ses yeux qui palpent le ciel
Il se raconte des voyages
Il se raconte des voyages
Allez! Bossu raconte-nous tes îles
Raconte-nous ces filles avec leurs seins dorés
A ce qu´on dit, tu vas bientôt les retrouver
La la la la la la
La mer est un cheval
Et je suis homme à la chevaucher
La la la la la la
Les cuisses dans la paille
Son écume a cravaché
La tête au ven, le cœur en cavale
Vivre un coup de mer au large des rochers
Et quant au cul de ma putain
J´ai oublié...
Quand j´ai laissé mon âme à ses pics
Qui vibrent au dessus des grèves
Lorsque la mer est libre des mouettes.
Allez! Bossu finis ton verre
Raconte-nous ces filles avec leur corps si doux
A ce qu´on dit, y´en aura même un peu pour nous
la la la la la la la
La mer est un ivrogne
Et je suis homme à l´abreuver
la la la la la la la
Ecoute-la qui grogne
Je suis homme à l´achever
Le cœur au fond le vent sur ma trogne
Vivre un goût de mer au point d´en crever
Et quant aux gueules des putains
J´ai oublié...
Car j´ai laissé ma chair à ces pies qui rodent
Dans l´odeur des algues lorsque la mer est chaude
Les mouettes...
Allez! Bossu, fait pas la gueule
Raconte-nous ces filles
Ces morceaux de Roi
A ce qu´on dit, elles seront bientôt toutes à toi
la la la la la la
La mer est un silence
Immense et froid comme un tombeau
la la la la la la
Sous la vague qui danse
Le sable ensevelit ma peau
Les cris en tête, le vin dans ma panse
Vivre un goût de mer au point de prendre l´eau
Dis-moi le nom de ma putain
J´ai oublié...
Demain j´ouvre mes veines à ces filles du diable
Qui déchirent la mer entre les bancs de sable
Les mouettes, les mouettes, les mouettes, les mouettes.....
Ses mains crevées dans le soleil
Et ses yeux qui palpent le ciel
Il se raconte des voyages
Il se raconte des voyages
Allez! Bossu raconte-nous tes îles
Raconte-nous ces filles avec leurs seins dorés
A ce qu´on dit, tu vas bientôt les retrouver
La la la la la la
La mer est un cheval
Et je suis homme à la chevaucher
La la la la la la
Les cuisses dans la paille
Son écume a cravaché
La tête au ven, le cœur en cavale
Vivre un coup de mer au large des rochers
Et quant au cul de ma putain
J´ai oublié...
Quand j´ai laissé mon âme à ses pics
Qui vibrent au dessus des grèves
Lorsque la mer est libre des mouettes.
Allez! Bossu finis ton verre
Raconte-nous ces filles avec leur corps si doux
A ce qu´on dit, y´en aura même un peu pour nous
la la la la la la la
La mer est un ivrogne
Et je suis homme à l´abreuver
la la la la la la la
Ecoute-la qui grogne
Je suis homme à l´achever
Le cœur au fond le vent sur ma trogne
Vivre un goût de mer au point d´en crever
Et quant aux gueules des putains
J´ai oublié...
Car j´ai laissé ma chair à ces pies qui rodent
Dans l´odeur des algues lorsque la mer est chaude
Les mouettes...
Allez! Bossu, fait pas la gueule
Raconte-nous ces filles
Ces morceaux de Roi
A ce qu´on dit, elles seront bientôt toutes à toi
la la la la la la
La mer est un silence
Immense et froid comme un tombeau
la la la la la la
Sous la vague qui danse
Le sable ensevelit ma peau
Les cris en tête, le vin dans ma panse
Vivre un goût de mer au point de prendre l´eau
Dis-moi le nom de ma putain
J´ai oublié...
Demain j´ouvre mes veines à ces filles du diable
Qui déchirent la mer entre les bancs de sable
Les mouettes, les mouettes, les mouettes, les mouettes.....