Nina
par Jean Sorbier
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Sais-tu combien tu fus désirée
Par moi lorsque je t´ai rencontrée
Combien, quand je cueillis ta caresse
Mon cœur connut de tendresse?
Nina, ô fillette étrange
Nina, doux parfum d´orange
J´ai désiré ton baiser pur et farouche
Et j´ai connu le don grisant de ta bouche
Nina, maîtresse émouvante
Nina, ô ma fleur vivante
Flamme qui luit, soleil radieux d´un beau jour
Nina, je t´aimerai toujours
Bientôt, tu te fis conter fleurette
Ton cœur est celui d´une coquette
Pour rien, des bonbons, des fleurs sans doute
Tu m´as laissé sur la route
Nina, fillette frivole
Nina, mon bonheur s´envole
Repousse-les, ceux qui disent qu´ils t´adorent
Reviens à moi car, tu sais, je t´aime encore
Nina, de nouveau, sois mienne
Nina, nos amours anciennes
Vont refleurir, plus ardentes qu´aux premiers jours
Nina, je t´aimerai toujours
Par moi lorsque je t´ai rencontrée
Combien, quand je cueillis ta caresse
Mon cœur connut de tendresse?
Nina, ô fillette étrange
Nina, doux parfum d´orange
J´ai désiré ton baiser pur et farouche
Et j´ai connu le don grisant de ta bouche
Nina, maîtresse émouvante
Nina, ô ma fleur vivante
Flamme qui luit, soleil radieux d´un beau jour
Nina, je t´aimerai toujours
Bientôt, tu te fis conter fleurette
Ton cœur est celui d´une coquette
Pour rien, des bonbons, des fleurs sans doute
Tu m´as laissé sur la route
Nina, fillette frivole
Nina, mon bonheur s´envole
Repousse-les, ceux qui disent qu´ils t´adorent
Reviens à moi car, tu sais, je t´aime encore
Nina, de nouveau, sois mienne
Nina, nos amours anciennes
Vont refleurir, plus ardentes qu´aux premiers jours
Nina, je t´aimerai toujours