Dis-moi
par Jeanne Garraud
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Dis-moi qu´ l´amour tient pour plus tard
Que les fleurs ne fanent jamais
Je ne suis pas libre, ce soir
Et je n´aime pas les regrets
Dis-moi que le temps peut attendre,
Que le papier ne jaunit pas
Que je serai pas de la cendre
Avant d´avoir connu tes bras
Mille pardons! Pardonne-moi
De n´ pas pouvoir dire que je t´aime
Je ne sais pas comment dire ça
Dans une autre langue que la mienne
Tant bien que mal, je partage
C´est serré, là-dedans, pour deux
Je tangue, j´évite le naufrage
Je ne veux pas de malheureux
Des fois je regarde le ciel
Si, toi aussi, tu regardais
On pourrait voir presque pareil
À deux ou trois étoiles près
Tu as collé des ailes immenses
À mon corps et à mon prénom
Tu es mon manque, mon silence
Je voudrais être cet avion
La ligne blanche dans le ciel
Vient jusqu´à toi, mon cœur, ma cible
À l´heure qu´il est, tu te réveilles
C´est troublant comme tout est possible
Si j´ai cassé ton cœur en deux
Si il s´est brisé contre moi
Le mien est bien resté au creux
De ta main gauche, souviens-toi
Cette présence dans la main
Cette force qui s´enracine
C´est du sucre dans le chagrin
De la tendresse clandestine
Je regarde par la fenêtre
Je regarde plus, je me couche
Et je rêve, un jour, de connaître
Ta peau et le goût de ta bouche
Dis-moi qu´ l´amour tient pour plus tard
Que les fleurs ne fanent jamais
Je ne suis pas libre, ce soir
Et je n´aime pas les regrets
Que les fleurs ne fanent jamais
Je ne suis pas libre, ce soir
Et je n´aime pas les regrets
Dis-moi que le temps peut attendre,
Que le papier ne jaunit pas
Que je serai pas de la cendre
Avant d´avoir connu tes bras
Mille pardons! Pardonne-moi
De n´ pas pouvoir dire que je t´aime
Je ne sais pas comment dire ça
Dans une autre langue que la mienne
Tant bien que mal, je partage
C´est serré, là-dedans, pour deux
Je tangue, j´évite le naufrage
Je ne veux pas de malheureux
Des fois je regarde le ciel
Si, toi aussi, tu regardais
On pourrait voir presque pareil
À deux ou trois étoiles près
Tu as collé des ailes immenses
À mon corps et à mon prénom
Tu es mon manque, mon silence
Je voudrais être cet avion
La ligne blanche dans le ciel
Vient jusqu´à toi, mon cœur, ma cible
À l´heure qu´il est, tu te réveilles
C´est troublant comme tout est possible
Si j´ai cassé ton cœur en deux
Si il s´est brisé contre moi
Le mien est bien resté au creux
De ta main gauche, souviens-toi
Cette présence dans la main
Cette force qui s´enracine
C´est du sucre dans le chagrin
De la tendresse clandestine
Je regarde par la fenêtre
Je regarde plus, je me couche
Et je rêve, un jour, de connaître
Ta peau et le goût de ta bouche
Dis-moi qu´ l´amour tient pour plus tard
Que les fleurs ne fanent jamais
Je ne suis pas libre, ce soir
Et je n´aime pas les regrets