L'équipe à jojo
par Joe Dassin
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Lulu vendait ces toiles
Jacquot plongeait dans un bistro
Dédé goûtait les vins
Moi, j´étais fort au halles
Et Jéjé lavait les carreaux
Pierrot ne faisait rien
On s´était fait les poches
Pour se payer un vieux tacot
Fleuri sur le capot
Qui rêvait de Provence
Et qui mourut à Fontainebleau
On allumait une cigarette et tout s´allumait
Et c´était la fête, le quatorze Juillet
Il n´y avait jamais un copain de trop
Dans l´équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n´avait rien
Qu´est-ce qu´on était fou, qu´est-ce qu´on c´en foutait
Qu´est-ce qu´on était bien
On louait pour des prunes
Les quatre murs d´un vieux grenier
Tout près à s´écrouler
Mais pour toute une fortune
On n´aurait pas déménagé
On allumait une cigarette et tout s´allumait
Et c´était la fête, le quatorze Juillet
Il n´y avait jamais un copain de trop
Dans l´équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n´avait rien
Qu´est-ce qu´on était fou, qu´est-ce qu´on c´en foutait
Qu´est-ce qu´on était bien
Lucien a mis les voiles
Et Jacques s´est payé un bistro
Où André boit de l´eau
Je n´suis plus fort au hale
Roger inspecte les impôts
Pierre cherche du boulot
J´ai changé de guitare
Mais j´ai gardé comme un cadeau
Cet air qui me tient chaud
Du fond de la mémoire
Celui de l´équipe à Jojo
On allumait une cigarette et tout s´allumait
Et c´était la fête, le quatorze Juillet
Il n´y avait jamais un copain de trop
Dans l´équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n´avait rien
Qu´est-ce qu´on était fou, qu´est-ce qu´on c´en foutait
Qu´est-ce qu´on était bien
Jacquot plongeait dans un bistro
Dédé goûtait les vins
Moi, j´étais fort au halles
Et Jéjé lavait les carreaux
Pierrot ne faisait rien
On s´était fait les poches
Pour se payer un vieux tacot
Fleuri sur le capot
Qui rêvait de Provence
Et qui mourut à Fontainebleau
On allumait une cigarette et tout s´allumait
Et c´était la fête, le quatorze Juillet
Il n´y avait jamais un copain de trop
Dans l´équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n´avait rien
Qu´est-ce qu´on était fou, qu´est-ce qu´on c´en foutait
Qu´est-ce qu´on était bien
On louait pour des prunes
Les quatre murs d´un vieux grenier
Tout près à s´écrouler
Mais pour toute une fortune
On n´aurait pas déménagé
On allumait une cigarette et tout s´allumait
Et c´était la fête, le quatorze Juillet
Il n´y avait jamais un copain de trop
Dans l´équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n´avait rien
Qu´est-ce qu´on était fou, qu´est-ce qu´on c´en foutait
Qu´est-ce qu´on était bien
Lucien a mis les voiles
Et Jacques s´est payé un bistro
Où André boit de l´eau
Je n´suis plus fort au hale
Roger inspecte les impôts
Pierre cherche du boulot
J´ai changé de guitare
Mais j´ai gardé comme un cadeau
Cet air qui me tient chaud
Du fond de la mémoire
Celui de l´équipe à Jojo
On allumait une cigarette et tout s´allumait
Et c´était la fête, le quatorze Juillet
Il n´y avait jamais un copain de trop
Dans l´équipe à Jojo
Y avait moins des nuits sans guitare que des jours sans pain
On partageait tout et on n´avait rien
Qu´est-ce qu´on était fou, qu´est-ce qu´on c´en foutait
Qu´est-ce qu´on était bien