Oraison
par Juliette
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{Refrain:}
Tu fais semblant de dormir
Tu fais semblant de sourire
Lorsque nous sommes ensemble
Tu fais semblant de blêmir
Tu fais semblant d´obéir
Amour, à ce qu´il me semble
Tu fais semblant de t´offrir
Tu fais semblant de gémir
A l´heure où Dieu nous rassemble
Tu fais semblant de souffrir
Tu fais semblant de mourir
Et moi, je prie et je tremble
Au-dessus de mon front, tes deux pieds
Ils ont tant marché
Qu´ils en paraissent usés, estropiés
Laisse-moi les toucher
J´aime tes durs genoux, tes cuisses et
Ton ventre creusé
Ta verge sous le linge immaculé
Malgré mes baisers,
Et la plaie de ton corps injurié
La rose écorchée
Plantée à ton flanc par les guerriers
Je veux la lécher
{au Refrain}
J´adore ton cœur à qui je suis vouée,
Qui peut en douter?
Mais plus encore, autant te l´avouer,
Ton sein velouté
Quant à tes longs bras de supplicié
Qu´ils soient, mon aimé,
Comme un piège de chair, un piège d´acier
Sur moi refermé
Et ta langue sous tes lèvres sacrées
Tu dois la donner
A cette part en moi massacrée
Sexe abandonné
Tu fais semblant de dormir
Lorsque nous sommes ensemble
Tu fais semblant de blêmir
Tu fais semblant d´obéir
Amour, à ce qu´il me semble
Tu fais semblant de t´offrir
Tu fais semblant de gémir
Tu fais semblant de souffrir
Et moi, je prie et je tremble
Tu fais semblant de dormir
Tu fais semblant de sourire
Lorsque nous sommes ensemble
Tu fais semblant de blêmir
Tu fais semblant d´obéir
Amour, à ce qu´il me semble
Tu fais semblant de t´offrir
Tu fais semblant de gémir
A l´heure où Dieu nous rassemble
Tu fais semblant de souffrir
Tu fais semblant de mourir
Et moi, je prie et je tremble
Au-dessus de mon front, tes deux pieds
Ils ont tant marché
Qu´ils en paraissent usés, estropiés
Laisse-moi les toucher
J´aime tes durs genoux, tes cuisses et
Ton ventre creusé
Ta verge sous le linge immaculé
Malgré mes baisers,
Et la plaie de ton corps injurié
La rose écorchée
Plantée à ton flanc par les guerriers
Je veux la lécher
{au Refrain}
J´adore ton cœur à qui je suis vouée,
Qui peut en douter?
Mais plus encore, autant te l´avouer,
Ton sein velouté
Quant à tes longs bras de supplicié
Qu´ils soient, mon aimé,
Comme un piège de chair, un piège d´acier
Sur moi refermé
Et ta langue sous tes lèvres sacrées
Tu dois la donner
A cette part en moi massacrée
Sexe abandonné
Tu fais semblant de dormir
Lorsque nous sommes ensemble
Tu fais semblant de blêmir
Tu fais semblant d´obéir
Amour, à ce qu´il me semble
Tu fais semblant de t´offrir
Tu fais semblant de gémir
Tu fais semblant de souffrir
Et moi, je prie et je tremble