Lettre à
par Kristov Et Les Commoners
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M´embraser pour ceux qui m´aiment
J´en fais le deuil
Car j´ai fait le tour de moi même, de mes écueils
Et j´ai pris sur moi d´y croire comme un fou
De brûler des cierges pour qu´un beau jour
Je leur crache ma haine
d´imposer
Ces années fades et blêmes
Elles finiront par payer
Et qu´ils reviennent
Rire de mon intégrité
Ces gens qui souffrent et saignent deux trois jours dans l´année
Je sais qui leur pose problème mon bel orgueil
Apporter les chrysanthèmes
Je crèverais seul
Dans la chambre noire
J´y crois à genoux
Je brûlais des cierges pour qu´à mon tour
Je leur crache ma haine
d´imposer
Ces années fades et blêmes
Elles finiront par payer
Et qu´ils reviennent
Rire de mon intégrité
Ces gens qui souffrent et saignent deux-trois jours dans l´année
J´en fais le deuil
Car j´ai fait le tour de moi même, de mes écueils
Et j´ai pris sur moi d´y croire comme un fou
De brûler des cierges pour qu´un beau jour
Je leur crache ma haine
d´imposer
Ces années fades et blêmes
Elles finiront par payer
Et qu´ils reviennent
Rire de mon intégrité
Ces gens qui souffrent et saignent deux trois jours dans l´année
Je sais qui leur pose problème mon bel orgueil
Apporter les chrysanthèmes
Je crèverais seul
Dans la chambre noire
J´y crois à genoux
Je brûlais des cierges pour qu´à mon tour
Je leur crache ma haine
d´imposer
Ces années fades et blêmes
Elles finiront par payer
Et qu´ils reviennent
Rire de mon intégrité
Ces gens qui souffrent et saignent deux-trois jours dans l´année