L'envol
par L'AB2C
lyricscopy.com
Là je redémarre et j´ai quitté l´adolescence mais j´étais clean, on disait pas que je me droguais tant, de l´éclat causé par les soucis parentaux, j´ai pris la porte en oubliant tout mes tracas mentaux, chez mes grands-parents, la musique et ma copine, c´est pas une vie car tout ça n´en est qu´une pal copie, j´allais vite me faire emporter par un ouragan et ça n´avait plus rien avoir avec le jour d´avant, en effet après ma meuf c´est barrée, à tout moment les sentiments peuvent s´égarer, 20 piges y´avait plus personnes à qui m´attacher à part les potes qui m´ont donné un climat parfait, j´suis partis voir des amis dans une autre patrie, vous les parents j´avais pas besoin de votre avis, résultat, mais j´ai bosser dans des bars à Dublin et c´était pas très loin mais ça m´a fait du bien. Il était grand temps en somme de prendre l´envol, je voulais voir ce qu´il y a d´étrange dans l´homme, aux questions j´ai pas trouvé un tas de réponse mais j´ai redécouvert le sens de la défonce.
Mon caractère a combattu avec les expériences, j´comprenais pas la vie j´ai dû en tester le sens, c´est pas la peine de nous freiner, on fait c´qu´on pense, on a cette impression qu´ici on perd son temps. Mon caractère il en aura bien gardé des séquelles et c´est normale autour de moi tout se disséquait, l´important évidement c´est qu´il faut pas se perdre, matte ça on avance avec la face terne.
J´ai pas vraiment fêté mon retour en Belgique et j´ai retrouvé mes grands-parents, mon p´tit frère et mes parents, mais seulement, cette fois elle squattait dans le même appartement, on m´a dit c´est trop petit ici et t´es devenus trop grand, j´ai pas eu l´choix à ce moment là j´ai vu qu´ça puait la dèche, j´ai vu toujours les mêmes qui ont rallumés la mèche et je parle de mes amis ils se reconnaîtront, ils m´ont fait trouver du positif dans les électrons. J´fais mes bagages et je suis repartis à Schaer, j´étais pas lascar, pas la star, pour moi c´était l´Alaska, et je payais 7000 francs à l´époque mais pas de chômage et pas de taf, je n´me rempli pas les poches, y´avait pas de fenêtre à part une sur le plafond, quand la pluie tombait ça transperçait dans mon salon, y´avait pas d´eau chaude en hiver fallait chauffer des casseroles et le passage pour la vie j´en trouvais pas la passerelle, en fait y´a des choses dont on s´moquait, et pour fumer je devais ramasser sur la moquette, un peu plus tard j´ai pu bénéficier des aides sociale, c´était peu mais c´était mieux et c´est pas négociable, j´ai mixer ça avec de l´argent facile et là c´est pas la première fois que ça me fascine puis avec ça on s´éclatait dans un tas de sortie, oh magnifique et euphorique qui étaient assortis, j´me défonçais la tête et puis j´accostais les femmes, je collais la plus bonne celle dont tes potes étaient fan, y´a pas de fin, la soirée n´a plus de limite et le frein il a sauté même pour les plus timide.
Mon caractère a combattu avec les expériences, j´comprenais pas la vie j´ai dû en tester le sens, c´est pas la peine de nous freiner, on fait c´qu´on pense, on a cette impression qu´ici on perd son temps. Mon caractère il en aura bien gardé des séquelles et c´est normale autour de moi tout se disséquait, l´important évidement c´est qu´il faut pas se perdre, matte ça on avance avec la face terne.
J´en pouvais plus ce bâtiment était trop insalubre et pour le proprio ce ne sera plus le mêmes salut, il a dit ‘´Partez!´´, j´ai pris la route et j´avais déjà tout emporté vers un nouveau quartier, me rapprochant de Fab et de Jay et puis de Fred et Gilles, vers la barrière à Saint-Gilles, au moins je restais libre, pas d´ascenseur, il fallait s´taper 100 marches, pour le cinquième étage, à la fin ça te rend barge, je sais bien qu´il y a pire, il faut même pas me l´dire, on oublie les cicatrices avec des barres de rires, pour les sorties j´ai fini par moins les acclamés et c´est déjà ça et j´avais d´autre visa calés.
Mon caractère a combattu avec les expériences, j´comprenais pas la vie j´ai dû en tester le sens, c´est pas la peine de nous freiner, on fait c´qu´on pense, on a cette impression qu´ici on perd son temps. Mon caractère il en aura bien gardé des séquelles et c´est normale autour de moi tout se disséquait, l´important évidement c´est qu´il faut pas se perdre, matte ça on avance avec la face terne.
Mon caractère a combattu avec les expériences, j´comprenais pas la vie j´ai dû en tester le sens, c´est pas la peine de nous freiner, on fait c´qu´on pense, on a cette impression qu´ici on perd son temps. Mon caractère il en aura bien gardé des séquelles et c´est normale autour de moi tout se disséquait, l´important évidement c´est qu´il faut pas se perdre, matte ça on avance avec la face terne.
J´ai pas vraiment fêté mon retour en Belgique et j´ai retrouvé mes grands-parents, mon p´tit frère et mes parents, mais seulement, cette fois elle squattait dans le même appartement, on m´a dit c´est trop petit ici et t´es devenus trop grand, j´ai pas eu l´choix à ce moment là j´ai vu qu´ça puait la dèche, j´ai vu toujours les mêmes qui ont rallumés la mèche et je parle de mes amis ils se reconnaîtront, ils m´ont fait trouver du positif dans les électrons. J´fais mes bagages et je suis repartis à Schaer, j´étais pas lascar, pas la star, pour moi c´était l´Alaska, et je payais 7000 francs à l´époque mais pas de chômage et pas de taf, je n´me rempli pas les poches, y´avait pas de fenêtre à part une sur le plafond, quand la pluie tombait ça transperçait dans mon salon, y´avait pas d´eau chaude en hiver fallait chauffer des casseroles et le passage pour la vie j´en trouvais pas la passerelle, en fait y´a des choses dont on s´moquait, et pour fumer je devais ramasser sur la moquette, un peu plus tard j´ai pu bénéficier des aides sociale, c´était peu mais c´était mieux et c´est pas négociable, j´ai mixer ça avec de l´argent facile et là c´est pas la première fois que ça me fascine puis avec ça on s´éclatait dans un tas de sortie, oh magnifique et euphorique qui étaient assortis, j´me défonçais la tête et puis j´accostais les femmes, je collais la plus bonne celle dont tes potes étaient fan, y´a pas de fin, la soirée n´a plus de limite et le frein il a sauté même pour les plus timide.
Mon caractère a combattu avec les expériences, j´comprenais pas la vie j´ai dû en tester le sens, c´est pas la peine de nous freiner, on fait c´qu´on pense, on a cette impression qu´ici on perd son temps. Mon caractère il en aura bien gardé des séquelles et c´est normale autour de moi tout se disséquait, l´important évidement c´est qu´il faut pas se perdre, matte ça on avance avec la face terne.
J´en pouvais plus ce bâtiment était trop insalubre et pour le proprio ce ne sera plus le mêmes salut, il a dit ‘´Partez!´´, j´ai pris la route et j´avais déjà tout emporté vers un nouveau quartier, me rapprochant de Fab et de Jay et puis de Fred et Gilles, vers la barrière à Saint-Gilles, au moins je restais libre, pas d´ascenseur, il fallait s´taper 100 marches, pour le cinquième étage, à la fin ça te rend barge, je sais bien qu´il y a pire, il faut même pas me l´dire, on oublie les cicatrices avec des barres de rires, pour les sorties j´ai fini par moins les acclamés et c´est déjà ça et j´avais d´autre visa calés.
Mon caractère a combattu avec les expériences, j´comprenais pas la vie j´ai dû en tester le sens, c´est pas la peine de nous freiner, on fait c´qu´on pense, on a cette impression qu´ici on perd son temps. Mon caractère il en aura bien gardé des séquelles et c´est normale autour de moi tout se disséquait, l´important évidement c´est qu´il faut pas se perdre, matte ça on avance avec la face terne.