Si c'était lui
par Laurence Jalbert
lyricscopy.com
Il est trois heures, c´est dimanche
Dans une heure, le soleil se lève
Toujours cette machine qui pense
Là, entre mes deux oreilles
Dans cet état, je suis franche
Je n´ai plus l´insouciance d´hier
Avenir et souvenance touchent la même frontière
Tout autour de mes yeux, sont imprimés
Les chemins et les parcours
Bien dits "Il était une fois, y a quelques années"
{Refrain:}
Et s´il me reste un peu de temps pour me rattraper
Pour ceux qui laissent le rêve dans les valises
Qu´ils ne peuvent plus apporter
Mais ce qui blesse
C´est de ne pas avoir essayé
Quand il ne restait qu´un été
Ce matin, je n´ai pas de réponse
J´en sais juste un peu plus qu´hier
Ça ne me permet pas de prétendre
Ni de te dire quoi faire
Par contre, je sais ce qu´est la chance,
Je connais, qu´est-ce qu´un privilège?
L´un c´est ta persévérance
L´autre une sorte de mystère
{au Refrain}
Pour un jour ou pour ton éternité,
Tu porteras les atours
Ils seront brodés par toi et ta destinée
Et s´il te reste un peu de temps pour te rattraper,
Pense à ceux qui laissent le rêve dans les valises
Qu´ils ne peuvent plus apporter
Mais ce qui blesse
C´est de ne pas avoir essayé
Quand il ne restait qu´un été
Dans une heure, le soleil se lève
Toujours cette machine qui pense
Là, entre mes deux oreilles
Dans cet état, je suis franche
Je n´ai plus l´insouciance d´hier
Avenir et souvenance touchent la même frontière
Tout autour de mes yeux, sont imprimés
Les chemins et les parcours
Bien dits "Il était une fois, y a quelques années"
{Refrain:}
Et s´il me reste un peu de temps pour me rattraper
Pour ceux qui laissent le rêve dans les valises
Qu´ils ne peuvent plus apporter
Mais ce qui blesse
C´est de ne pas avoir essayé
Quand il ne restait qu´un été
Ce matin, je n´ai pas de réponse
J´en sais juste un peu plus qu´hier
Ça ne me permet pas de prétendre
Ni de te dire quoi faire
Par contre, je sais ce qu´est la chance,
Je connais, qu´est-ce qu´un privilège?
L´un c´est ta persévérance
L´autre une sorte de mystère
{au Refrain}
Pour un jour ou pour ton éternité,
Tu porteras les atours
Ils seront brodés par toi et ta destinée
Et s´il te reste un peu de temps pour te rattraper,
Pense à ceux qui laissent le rêve dans les valises
Qu´ils ne peuvent plus apporter
Mais ce qui blesse
C´est de ne pas avoir essayé
Quand il ne restait qu´un été