Légendes
par Les Rives
lyricscopy.com
Au pays des légendes j´ai déposés mes bagages
Au sable de la lande j´ai mêlé mon âme au rivage
Au pays où les hommes aiment leur terre plus que la vie
J´ai vu le Menez Hom respirer sous un ciel de pluie
J´entends le souffle court du cheval de Gradlon
Qui foule tour à tour l´océan et le mont
Les sabots de Morvrach soulevant la poussière
Galopent jusqu´au lac des portes de l´enfer
Et de la cité d´Ys j´entends Dahut la belle
Du fond de ces abysses que son chant ensorcelle
Quelques marins perdus en baie de Douarnenez
Qui se jettent éperdus au ventre des marées
Je vois dans l´océan se jeter les sirènes
Plonger le goéland et souffler les baleines
Et dans l´épais brouillard des navires de géants
Naviguer au hasard portés par les courants
J´entends les mots sacrés de Merlin l´enchanteur
Et Lancelot pleurer son amour qui se meurt
Je le vois galopant sur sa blanche monture
Dans la force du vent qui couche les blés mûrs
Je sens les doigts crispés du jeune roi Arthur
Retirer du rocher la belle Excalibur
Il s´en va guerroyer pour libérer la terre
Du bout de son épée inondée de lumière
Au pays des légendes j´ai déposés mes bagages
Au sable de la lande j´ai mêlé mon âme au rivage
Au pays où les hommes aiment leur terre plus que la vie
J´ai vu le Menez Hom respirer sous un ciel de pluie
J´entends le souffle court du cheval de Gradlon
Qui foule tour à tour l´océan et le mont
Les sabots de Morvrach soulevant la poussière
Galopent jusqu´au lac des portes de l´enfer
Au sable de la lande j´ai mêlé mon âme au rivage
Au pays où les hommes aiment leur terre plus que la vie
J´ai vu le Menez Hom respirer sous un ciel de pluie
J´entends le souffle court du cheval de Gradlon
Qui foule tour à tour l´océan et le mont
Les sabots de Morvrach soulevant la poussière
Galopent jusqu´au lac des portes de l´enfer
Et de la cité d´Ys j´entends Dahut la belle
Du fond de ces abysses que son chant ensorcelle
Quelques marins perdus en baie de Douarnenez
Qui se jettent éperdus au ventre des marées
Je vois dans l´océan se jeter les sirènes
Plonger le goéland et souffler les baleines
Et dans l´épais brouillard des navires de géants
Naviguer au hasard portés par les courants
J´entends les mots sacrés de Merlin l´enchanteur
Et Lancelot pleurer son amour qui se meurt
Je le vois galopant sur sa blanche monture
Dans la force du vent qui couche les blés mûrs
Je sens les doigts crispés du jeune roi Arthur
Retirer du rocher la belle Excalibur
Il s´en va guerroyer pour libérer la terre
Du bout de son épée inondée de lumière
Au pays des légendes j´ai déposés mes bagages
Au sable de la lande j´ai mêlé mon âme au rivage
Au pays où les hommes aiment leur terre plus que la vie
J´ai vu le Menez Hom respirer sous un ciel de pluie
J´entends le souffle court du cheval de Gradlon
Qui foule tour à tour l´océan et le mont
Les sabots de Morvrach soulevant la poussière
Galopent jusqu´au lac des portes de l´enfer