Le fond et la forme
par Lofofora
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Le fond et la forme, déforment et défont.
De vices de forme en lames de fond la folie des hommes chante à l´unisson, fait des bulles comme dans l´eau d´un poisson voient dans les nuages de sombres images.
Comme la terre est ronde, comme l´eau est profonde, comme la route est longue.
Quand la lune est pleine d´ici on devine les plantes des arbres la cime.
Comme un sortilège parfois se dessine une forme aérienne nouée d´une ligne, le visage d´un ange au sourire étrange.
Les gens du village ne laissent pas faire les vauriens qui crachent devant le cimetière.
Et comme des lâches ils jettent des pierres sur les trains qui passent avant la frontière.
On aime son prochain tous les dimanches matins.
Dans la grande ville le bruit du moteur d´une chape grise étouffe nos cœurs, reste une valise, le regard moqueur, des phares qui scintillent, n´a plus de couleur.
Tout s´emballe d´un voile sale. Le brouillard nous avale.
De vices de forme en lames de fond la folie des hommes chante à l´unisson, fait des bulles comme dans l´eau d´un poisson voient dans les nuages de sombres images.
Comme la terre est ronde, comme l´eau est profonde, comme la route est longue.
Quand la lune est pleine d´ici on devine les plantes des arbres la cime.
Comme un sortilège parfois se dessine une forme aérienne nouée d´une ligne, le visage d´un ange au sourire étrange.
Les gens du village ne laissent pas faire les vauriens qui crachent devant le cimetière.
Et comme des lâches ils jettent des pierres sur les trains qui passent avant la frontière.
On aime son prochain tous les dimanches matins.
Dans la grande ville le bruit du moteur d´une chape grise étouffe nos cœurs, reste une valise, le regard moqueur, des phares qui scintillent, n´a plus de couleur.
Tout s´emballe d´un voile sale. Le brouillard nous avale.