Aux étoiles
par Loïc Lantoine
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J´ai chanté aux étoiles mon amour pour toi
Et j´ai fait le calcul, ma voix leur parviendra
Dans trois milliards d´années. Sûrement elles vont s´éteindre
De n´avoir pu t´aimer car moi seul peux t´étreindre
A ton seul souvenir, mon bonheur perle en larmes
Et s´en va dévaler en cascades et vacarmes
Si la ville panique, ça n´est que d´ignorer
Que mille torrents d´amour s´en viennent l´abreuver
{Refrain:}
Qu´on me redise un jour que l´amour n´a qu´un temps
Tant que courra le temps, je t´aimerai autant
T´en fais pas, mon amour, laissons-le défiler
Il est temps de s´étendre pour mieux le défier
J´ai voulu voir du beau ailleurs que sur ton corps
Mais mes yeux sans repos doivent fouiller encore
Je n´ai d´autre sommeil que dormir sur ton ventre
Je n´ai d´autres folies que rentrer dans ton antre
J´ai le coeur qui pense et la tête qui pompe
Bonheur d´être à l´envers, la raison qui s´estompe
Quand, de tes doigts glacés, tu me brûles la peau
Quand, dans tes petits bras, je couche en un château
{au Refrain}
S´agit pas d´ s´en aller sinon qui va m´aider?
Me dire qu´il faut manger puis aussi respirer
Je ne sais plus rien faire que de penser à toi
Non, c´est vrai, j´exagère, je veux parler de toi
Tu t´es offerte à moi et j´ai gagné ma mort
Ma même, ma pareille, me voilà couvert d´or
Pour te dire que je t´aime, j´ai dû en faire des couches
A ton prochain sourire, j´en rajouterai trois louches
{au Refrain}
Et j´ai fait le calcul, ma voix leur parviendra
Dans trois milliards d´années. Sûrement elles vont s´éteindre
De n´avoir pu t´aimer car moi seul peux t´étreindre
A ton seul souvenir, mon bonheur perle en larmes
Et s´en va dévaler en cascades et vacarmes
Si la ville panique, ça n´est que d´ignorer
Que mille torrents d´amour s´en viennent l´abreuver
{Refrain:}
Qu´on me redise un jour que l´amour n´a qu´un temps
Tant que courra le temps, je t´aimerai autant
T´en fais pas, mon amour, laissons-le défiler
Il est temps de s´étendre pour mieux le défier
J´ai voulu voir du beau ailleurs que sur ton corps
Mais mes yeux sans repos doivent fouiller encore
Je n´ai d´autre sommeil que dormir sur ton ventre
Je n´ai d´autres folies que rentrer dans ton antre
J´ai le coeur qui pense et la tête qui pompe
Bonheur d´être à l´envers, la raison qui s´estompe
Quand, de tes doigts glacés, tu me brûles la peau
Quand, dans tes petits bras, je couche en un château
{au Refrain}
S´agit pas d´ s´en aller sinon qui va m´aider?
Me dire qu´il faut manger puis aussi respirer
Je ne sais plus rien faire que de penser à toi
Non, c´est vrai, j´exagère, je veux parler de toi
Tu t´es offerte à moi et j´ai gagné ma mort
Ma même, ma pareille, me voilà couvert d´or
Pour te dire que je t´aime, j´ai dû en faire des couches
A ton prochain sourire, j´en rajouterai trois louches
{au Refrain}