Ringo
par Lorne Greene
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Ceci concerne un hors-la-loi qui vécut dans l´Ouest
Parmi ces mauvais gars, parmi ces Billy the Kid et pire
Il y eut parfois des lâches
Tel celui qui tira dans le dos du fameux Wild Bill Hickok
Il y en a toujours un comme ça, à n´importe quelle époque de l´Histoire
La plupart d´entre eux furent des vauriens mais une fois de temps à autre
L´un deux prouva qu´il aurait pu vivre comme un homme
Il gisait sur le sable du désert
Sa main serrant un revolver
Une balle dans le dos, je le croyais mort
Le plomb près du cœur blessant son corps
Mais il respirait. Aidé de mon couteau
Ce soir-là, je sauvai la peau de Ringo
Mes soins lui prodiguèrent secours
Il guérit vite avec les jours
Tout le temps, au rythme d´enfer
Il s´exerçait au revolver
Et je l´observais stupéfié
C´est sûr que personne n´aurait pu défier Ringo
Puis, nos chemins ont divergé
Nommé shérif, je pus porter
L´étoile d´or, symbole de loi
Tandis que lui, par monts et bois,
Bandit, terreur au tel renom
Faisait craindre de tous le nom de Ringo
De lui ou moi sonnerait l´heure
Décidant quel est le meilleur
Un jour, on me dit, c´était sûr
Qu´il était présent dans nos murs
Je quittai mes hommes dans la rue
Et tout seul, j´allai vers mon but : Ringo
Réputé comme le plus rapide
Je dégainai comme un bolide
Mais sa balle blessa mon poignet
Et fit voler mon pistolet
Son revolver sur moi pointait
Le tir mortel me menaçait de Ringo
Ce fut, dit-on, la première fois
Qu´on vit sourire ce gars-là
Il abaissa son arme, pas vite
Puis dit "Ami, nous voilà quittes"
C´est ainsi qu´enfin je compris
Qu´un peu de bon restait en lui, en Ringo
Je lui bloquai toute retraite
Dans la rue, on marcha d´une traite
Une mitraillade le descendit
En un instant, il fut sans vie
Et retentirent des cris de joie
Personne dans la ville ne pleura pour Ringo
La légende gagna chaque foyer
Que Ringo, je l´ai surpassé
Puis que ma retraite, je l´ai prise
En raison des années, qu´ils disent
Ignorant, sur sa pierre tombale
Pourquoi se ternit mon étoile pour Ringo
Parmi ces mauvais gars, parmi ces Billy the Kid et pire
Il y eut parfois des lâches
Tel celui qui tira dans le dos du fameux Wild Bill Hickok
Il y en a toujours un comme ça, à n´importe quelle époque de l´Histoire
La plupart d´entre eux furent des vauriens mais une fois de temps à autre
L´un deux prouva qu´il aurait pu vivre comme un homme
Il gisait sur le sable du désert
Sa main serrant un revolver
Une balle dans le dos, je le croyais mort
Le plomb près du cœur blessant son corps
Mais il respirait. Aidé de mon couteau
Ce soir-là, je sauvai la peau de Ringo
Mes soins lui prodiguèrent secours
Il guérit vite avec les jours
Tout le temps, au rythme d´enfer
Il s´exerçait au revolver
Et je l´observais stupéfié
C´est sûr que personne n´aurait pu défier Ringo
Puis, nos chemins ont divergé
Nommé shérif, je pus porter
L´étoile d´or, symbole de loi
Tandis que lui, par monts et bois,
Bandit, terreur au tel renom
Faisait craindre de tous le nom de Ringo
De lui ou moi sonnerait l´heure
Décidant quel est le meilleur
Un jour, on me dit, c´était sûr
Qu´il était présent dans nos murs
Je quittai mes hommes dans la rue
Et tout seul, j´allai vers mon but : Ringo
Réputé comme le plus rapide
Je dégainai comme un bolide
Mais sa balle blessa mon poignet
Et fit voler mon pistolet
Son revolver sur moi pointait
Le tir mortel me menaçait de Ringo
Ce fut, dit-on, la première fois
Qu´on vit sourire ce gars-là
Il abaissa son arme, pas vite
Puis dit "Ami, nous voilà quittes"
C´est ainsi qu´enfin je compris
Qu´un peu de bon restait en lui, en Ringo
Je lui bloquai toute retraite
Dans la rue, on marcha d´une traite
Une mitraillade le descendit
En un instant, il fut sans vie
Et retentirent des cris de joie
Personne dans la ville ne pleura pour Ringo
La légende gagna chaque foyer
Que Ringo, je l´ai surpassé
Puis que ma retraite, je l´ai prise
En raison des années, qu´ils disent
Ignorant, sur sa pierre tombale
Pourquoi se ternit mon étoile pour Ringo