En veston jaune
par Luis Mariano
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Quand la neige de décembre voltigeait sur les chaumières
Que de contes, que de fables nous racontait mon grand-père.
Il savait les mille histoires qui cheminent sur la Terre.
La plus belle était l´image qui chantait un grand amour.
C´est du cœur d´un doux poète qu´un matin, elle naquit
La voici, naïve et tendre, aussi fraîche que jadis.
En veston jaune et pantalon bleu pervenche
Dans sa calèche, il venait le dimanche.
Dans la grand-rue, l´attendait, rose et blanche
Mademoiselle Isabelle, son amour.
Trottinant sans trop de zèle, la jument faisait leur bonheur
A l´abri sous une ombrelle
En cadence battaient leurs cœurs.
A vingt ans, comme tant d´autres, il dut quitter son Isabelle
En jurant à son amour de lui rester toujours fidèle.
Tous les jours, il lui cueillait les fleurs nouvelles les plus belles
Qu´il jetait dans la rivière qui passait au cher pays.
Et les fleurs de ce poète, naviguant au fil de l´eau
Apportaient à Isabelle le message le plus beau.
En veston jaune et pantalon bleu pervenche
Dans sa calèche, il viendra le dimanche.
Dans la grand-rue, l´attendra, rose et blanche
Mademoiselle Isabelle, son amour.
Trottinant sans trop de zèle, la jument fera leur bonheur
A l´abri sous une ombrelle
En cadence battront leurs cœurs.
Et, plus tard, à la chapelle
Un curé bénit leur amour.
Cette histoire est éternelle
Chantez-la à votre tour.
Que de contes, que de fables nous racontait mon grand-père.
Il savait les mille histoires qui cheminent sur la Terre.
La plus belle était l´image qui chantait un grand amour.
C´est du cœur d´un doux poète qu´un matin, elle naquit
La voici, naïve et tendre, aussi fraîche que jadis.
En veston jaune et pantalon bleu pervenche
Dans sa calèche, il venait le dimanche.
Dans la grand-rue, l´attendait, rose et blanche
Mademoiselle Isabelle, son amour.
Trottinant sans trop de zèle, la jument faisait leur bonheur
A l´abri sous une ombrelle
En cadence battaient leurs cœurs.
A vingt ans, comme tant d´autres, il dut quitter son Isabelle
En jurant à son amour de lui rester toujours fidèle.
Tous les jours, il lui cueillait les fleurs nouvelles les plus belles
Qu´il jetait dans la rivière qui passait au cher pays.
Et les fleurs de ce poète, naviguant au fil de l´eau
Apportaient à Isabelle le message le plus beau.
En veston jaune et pantalon bleu pervenche
Dans sa calèche, il viendra le dimanche.
Dans la grand-rue, l´attendra, rose et blanche
Mademoiselle Isabelle, son amour.
Trottinant sans trop de zèle, la jument fera leur bonheur
A l´abri sous une ombrelle
En cadence battront leurs cœurs.
Et, plus tard, à la chapelle
Un curé bénit leur amour.
Cette histoire est éternelle
Chantez-la à votre tour.