Paris sous la pluie
par Maison Brume
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La pluie du bout du bout des doigts
Ses bruits sur les toits
Voilent mes soucis, me bercent l´esprit
Des ruines des bouts de voix
Bourdonnent autour de moi
La ville s´engourdie prise d´insomnie
Et dans ses bras l´asphalte
S´accroche à mes pattes
Et je marche à l´unisson des sons
De la ville de Paris
Se dessinent à l´horizon des mirages en devenir
Des myriades de souvenir des pensées de saisons
Que je cueille dans un parc en état d´oraison
Que j´accroche à mon arc avec raison
Que je croise un via, une âme
Avec qui partager mes rames
Enfin sortir des flots, des remous
De la ville de Paris
Dérivons vers des lieux ensoleillés
Sous les arbres battant la chaleur du pavé
Paris se vide enfin l´été
Se vide de gens, de gens ivres des quais
Se vide de gens, de gens ivres des quais
Dérivons vers des lieux ensoleillés
Sous les arbres battant la chaleur du pavé
Paris se vide enfin l´été
Se vide de gens, de gens ivres des quais
Se vide de gens, de gens ivres des quais
Ses bruits sur les toits
Voilent mes soucis, me bercent l´esprit
Des ruines des bouts de voix
Bourdonnent autour de moi
La ville s´engourdie prise d´insomnie
Et dans ses bras l´asphalte
S´accroche à mes pattes
Et je marche à l´unisson des sons
De la ville de Paris
Se dessinent à l´horizon des mirages en devenir
Des myriades de souvenir des pensées de saisons
Que je cueille dans un parc en état d´oraison
Que j´accroche à mon arc avec raison
Que je croise un via, une âme
Avec qui partager mes rames
Enfin sortir des flots, des remous
De la ville de Paris
Dérivons vers des lieux ensoleillés
Sous les arbres battant la chaleur du pavé
Paris se vide enfin l´été
Se vide de gens, de gens ivres des quais
Se vide de gens, de gens ivres des quais
Dérivons vers des lieux ensoleillés
Sous les arbres battant la chaleur du pavé
Paris se vide enfin l´été
Se vide de gens, de gens ivres des quais
Se vide de gens, de gens ivres des quais