Les enfants des autres
par Mano Solo
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Les enfants des autres ils sont pas pour toi
Ils s´en vont un matin dans la brume d´un nouveau destin
Tant de fois tu peux croire ta peau gravée dans sa main
Tant de fois tu peux croire ton p´tit coeur et le sien n´en faire plus qu´un
Tant de fois tu peux croire mais t´es le père de rien
Les enfants des autres n´existent pas
Ils se pressent contre toi
Juste le temps qu´on leur laisse le droit
Ils n´ont besoin de croire en rien
Ils vont juste là où ils se sentent bien
Les enfants des autres ils t´apparaissent dans la nuit
Comme des bons apôtres qu´ont déchiré ton ennui
Ils agrandiront tes bras, ils agrandiront ta foi
Ils agrandiront tes envies, ils t´agrandiront tant de fois
Mais tu restes tout petit toi t´es le père de rien
Les enfants des autres n´existent pas
Ils se pressent contre toi
Juste le temps qu´on leur laisse le droit
Ils n´ont besoin de croire en rien
Ils vont juste là où ils se sentent bien
Les enfants des autres sont beaux comme des femmes inaccessibles
Et pourtant ils te parlent affables et disponibles
Ils t´embrassent et te caressent
D´un éclat de rire, une joie, une tape sur la fesse
Ils font de toi ce que tu n´es jamais ailleurs
Un homme dans un instant de bonheur
Des larmes plein les yeux
Des larmes d´amoureux
Les enfants des autres n´existent pas
Ils se pressent contre toi
Juste le temps qu´on leur laisse le droit
Ils n´ont besoin de croire en rien
Ils vont juste là où ils se sentent bien
Allez ciao, à la prochaine
Si tu te souviens de moi quand tu seras grand
Ben passe donc faire un tour
Ils s´en vont un matin dans la brume d´un nouveau destin
Tant de fois tu peux croire ta peau gravée dans sa main
Tant de fois tu peux croire ton p´tit coeur et le sien n´en faire plus qu´un
Tant de fois tu peux croire mais t´es le père de rien
Les enfants des autres n´existent pas
Ils se pressent contre toi
Juste le temps qu´on leur laisse le droit
Ils n´ont besoin de croire en rien
Ils vont juste là où ils se sentent bien
Les enfants des autres ils t´apparaissent dans la nuit
Comme des bons apôtres qu´ont déchiré ton ennui
Ils agrandiront tes bras, ils agrandiront ta foi
Ils agrandiront tes envies, ils t´agrandiront tant de fois
Mais tu restes tout petit toi t´es le père de rien
Les enfants des autres n´existent pas
Ils se pressent contre toi
Juste le temps qu´on leur laisse le droit
Ils n´ont besoin de croire en rien
Ils vont juste là où ils se sentent bien
Les enfants des autres sont beaux comme des femmes inaccessibles
Et pourtant ils te parlent affables et disponibles
Ils t´embrassent et te caressent
D´un éclat de rire, une joie, une tape sur la fesse
Ils font de toi ce que tu n´es jamais ailleurs
Un homme dans un instant de bonheur
Des larmes plein les yeux
Des larmes d´amoureux
Les enfants des autres n´existent pas
Ils se pressent contre toi
Juste le temps qu´on leur laisse le droit
Ils n´ont besoin de croire en rien
Ils vont juste là où ils se sentent bien
Allez ciao, à la prochaine
Si tu te souviens de moi quand tu seras grand
Ben passe donc faire un tour