Ballade de françois guillou
par Marcel Amont
lyricscopy.com
{Refrain:}
Mon Dieu! Que les prairies sont belles
Quand le printemps pousse à la roue
Quand friselisent les dentelles
Dans la brise des baisers fous
Il s´appelait François Guillou
Avait vingt ans et beau visage
Ses yeux brillaient des quat´ cents coups
Et des étoiles de son courage
Le soir venu, plus d´une femme
Le retrouvait dans les sentiers
Là, Guillou éteignait sa flamme
Entre leurs mains bien volontiers
{au Refrain}
Guillou, dans la paille nouvelle,
Dénouait de longs cheveux blonds
Le soir où les maris des belles
Ont chargé leurs fusils de plomb
Jaloux, riez de votre veine
Vos femmes n´auront plus Guillou
Mais ses baisers coulent dans leurs veines
Les amants changent et voilà tout
Mon Dieu! Que cette histoire est bête
Quand on y repense après coup
Écoute-la pourtant, fillette,
Et viens-t´en là sur mes genoux
Mon Dieu! Que les prairies sont belles
Quand le printemps pousse à la roue
Quand friselisent les dentelles
Dans la brise des baisers fous
Il s´appelait François Guillou
Avait vingt ans et beau visage
Ses yeux brillaient des quat´ cents coups
Et des étoiles de son courage
Le soir venu, plus d´une femme
Le retrouvait dans les sentiers
Là, Guillou éteignait sa flamme
Entre leurs mains bien volontiers
{au Refrain}
Guillou, dans la paille nouvelle,
Dénouait de longs cheveux blonds
Le soir où les maris des belles
Ont chargé leurs fusils de plomb
Jaloux, riez de votre veine
Vos femmes n´auront plus Guillou
Mais ses baisers coulent dans leurs veines
Les amants changent et voilà tout
Mon Dieu! Que cette histoire est bête
Quand on y repense après coup
Écoute-la pourtant, fillette,
Et viens-t´en là sur mes genoux