Le tango de lola
par Marcel Véran
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[Introduction parlée, dans la version de Jean Lumière uniquement:]
À Séville, un galant, vers le déclin du jour
À sa belle chantait ce doux refrain d´amour
---
{Refrain:}
C´est pour toi Lola, ô ma brune
Que ce soir j´ai fait ce tango
En rêvant seul sous la lune
Au son des guitares et des banjos
Hélas! Je n´ai pas de fortune
Pour pouvoir t´offrir des joyaux
Et c´est pourquoi, ô ma brune
J´ai mis tout mon cœur dans ce tango
Je sais bien que les hommes t´admirent
Je les vois rôder autour de toi
Comme un aimant tu les attires
Et j´en souffre malgré moi
Je sais bien que certains te promettent
Des richesses pour mieux te tenter
Et pourtant, moi, pauvre poète
Dans l´espoir de te charmer
{au Refrain}
Je sais bien que tout ton être grise
Que celui qui te tient dans ses bras
Est à jamais sous ton emprise
Et qu´il ne se reprend pas
Oui, je sais tout cela mais quand même
Contre moi je voudrais te tenir
Car plus que tout, vois-tu, je t´aime
Tant pis si je dois souffrir
{au Refrain}
---
[Conclusion parlée, dans la version de Jean Lumière uniquement:]
À Séville, un galant, vers le déclin du jour
À sa belle a chanté ce doux refrain d´amour
À Séville, un galant, vers le déclin du jour
À sa belle chantait ce doux refrain d´amour
---
{Refrain:}
C´est pour toi Lola, ô ma brune
Que ce soir j´ai fait ce tango
En rêvant seul sous la lune
Au son des guitares et des banjos
Hélas! Je n´ai pas de fortune
Pour pouvoir t´offrir des joyaux
Et c´est pourquoi, ô ma brune
J´ai mis tout mon cœur dans ce tango
Je sais bien que les hommes t´admirent
Je les vois rôder autour de toi
Comme un aimant tu les attires
Et j´en souffre malgré moi
Je sais bien que certains te promettent
Des richesses pour mieux te tenter
Et pourtant, moi, pauvre poète
Dans l´espoir de te charmer
{au Refrain}
Je sais bien que tout ton être grise
Que celui qui te tient dans ses bras
Est à jamais sous ton emprise
Et qu´il ne se reprend pas
Oui, je sais tout cela mais quand même
Contre moi je voudrais te tenir
Car plus que tout, vois-tu, je t´aime
Tant pis si je dois souffrir
{au Refrain}
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[Conclusion parlée, dans la version de Jean Lumière uniquement:]
À Séville, un galant, vers le déclin du jour
À sa belle a chanté ce doux refrain d´amour