Flashback
par Marianne Dissard
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Au creux de ton épaule, je pose enfin la tête.
Je respire et j´aspire à retenir ta voix.
Je vais, frôlant ton bras et je te fais la fête
A ta vue j´ai si gros sur le coeur à te dire
que je ne sais encore avoir pris corps en moi, en moi
La vitre et puis Paris, le ciel et puis la mer,
Partir sans trop quitter, errer sur une plage.
N´attendre rien de toi, ne plus savoir que dire.
et puis penser tout haut dans un demi-sommeil
qu´il y a déja 2 heures que le ciel s´est couvert, couvert.
Sur la jetée, des vagues, un homme y a plongé.
Son corps plane un instant au dessus du ressac.
Ses mains qui trouvent l´eau, flashback sur nos brûlures.
Si je me retournais, de nos pas sur le sable,
restera rien, l´orage innocent s´est passé, lassé
restera rien, l´orage innocent s´est passé, lassé.
.
Je respire et j´aspire à retenir ta voix.
Je vais, frôlant ton bras et je te fais la fête
A ta vue j´ai si gros sur le coeur à te dire
que je ne sais encore avoir pris corps en moi, en moi
La vitre et puis Paris, le ciel et puis la mer,
Partir sans trop quitter, errer sur une plage.
N´attendre rien de toi, ne plus savoir que dire.
et puis penser tout haut dans un demi-sommeil
qu´il y a déja 2 heures que le ciel s´est couvert, couvert.
Sur la jetée, des vagues, un homme y a plongé.
Son corps plane un instant au dessus du ressac.
Ses mains qui trouvent l´eau, flashback sur nos brûlures.
Si je me retournais, de nos pas sur le sable,
restera rien, l´orage innocent s´est passé, lassé
restera rien, l´orage innocent s´est passé, lassé.
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