Ben alors quoi ?
par Marie Cherrier
lyricscopy.com
J´te regrette, le chanteur énervant
Bon, t´as l´droit de ne plus être énervé
Mais j´peux pas le croire
Y a encore tant à protester et à pleurer
M´dis pas qu´t´as fait ton dernier bal
Qu´ta gueule d´aminche a la corde aux cons
Qu´tu t´es rangé pour une dame
Qui t´tient maintenant par le licou
Allez, dis-lui "Adieu minette"
Que jamais on n´aura ta peau
Qu´t´as des caillasses plein tes chaussettes
Si on veut r´tourner ton manteau
J´me dis quand même que j´te pardonne
De nourrir ton blé, pour ses cheveux
J´me dis quand même que tu déconnes
Je n´me retrouve plus dans tes yeux
Elle t´a décollé de ton zinc
Bon, ça, j´peux pas lui en vouloir
Mais pour t´coller sur TF1
J´ai dû regarder pour y croire
Allez, dis-lui "Adieu minette"
Qu´les filles honnêtes, t´y crois pas trop
Que tu veux garder ta casquette
Pas faire le pantin sur un plateau
Y a eu Dylan avant toi
Ben alors quoi? T´avais promis
Ça y est, tu es tombé du toit
L´p´tit chat est mort pour une souris
Alors, c´est le feu vert aux pourris
Aux avocats de Bhopal
Aux militaires, à la nuit
A la pollution de notre étoile
Aux massacres des Indiens
A l´école où on n´apprend rien
Sirop de la rue ne soigne plus
Si toi t´abandonnes, j´y crois plus!
Allez, dis-lui "Adieu minette"
Que toi, tu préfères les oiseaux
Que plus on vole, moins on s´achète
Qu´est-ce tu fous? J´t´attends bien plus haut
Allez, ici, j´vais m´arrêter
Parce que je t´aime, parce que tu l´aimes
C´est pas d´la jalousie, tu sais
Et au grand jamais, de la haine
Mais j´voulais qu´tu fouilles dans mon sac
Bien au fond j´y gardais, planqués
Plein de Stimorol en vrac
Ainsi soit-il, vivent les mariés!
Pour moi, tu restes marchand de tendresse
Et jamais on n´aura ta peau
Ton cassoulet pour ta gonzesse
Et tes rengaines dans les ghettos
Pour moi, tu restes marchand de tendresse
Et jamais on n´aura ta peau
Ton cassoulet pour ta gonzesse
Et tes rengaines dans les ghettos
Les ghettos
Bon, t´as l´droit de ne plus être énervé
Mais j´peux pas le croire
Y a encore tant à protester et à pleurer
M´dis pas qu´t´as fait ton dernier bal
Qu´ta gueule d´aminche a la corde aux cons
Qu´tu t´es rangé pour une dame
Qui t´tient maintenant par le licou
Allez, dis-lui "Adieu minette"
Que jamais on n´aura ta peau
Qu´t´as des caillasses plein tes chaussettes
Si on veut r´tourner ton manteau
J´me dis quand même que j´te pardonne
De nourrir ton blé, pour ses cheveux
J´me dis quand même que tu déconnes
Je n´me retrouve plus dans tes yeux
Elle t´a décollé de ton zinc
Bon, ça, j´peux pas lui en vouloir
Mais pour t´coller sur TF1
J´ai dû regarder pour y croire
Allez, dis-lui "Adieu minette"
Qu´les filles honnêtes, t´y crois pas trop
Que tu veux garder ta casquette
Pas faire le pantin sur un plateau
Y a eu Dylan avant toi
Ben alors quoi? T´avais promis
Ça y est, tu es tombé du toit
L´p´tit chat est mort pour une souris
Alors, c´est le feu vert aux pourris
Aux avocats de Bhopal
Aux militaires, à la nuit
A la pollution de notre étoile
Aux massacres des Indiens
A l´école où on n´apprend rien
Sirop de la rue ne soigne plus
Si toi t´abandonnes, j´y crois plus!
Allez, dis-lui "Adieu minette"
Que toi, tu préfères les oiseaux
Que plus on vole, moins on s´achète
Qu´est-ce tu fous? J´t´attends bien plus haut
Allez, ici, j´vais m´arrêter
Parce que je t´aime, parce que tu l´aimes
C´est pas d´la jalousie, tu sais
Et au grand jamais, de la haine
Mais j´voulais qu´tu fouilles dans mon sac
Bien au fond j´y gardais, planqués
Plein de Stimorol en vrac
Ainsi soit-il, vivent les mariés!
Pour moi, tu restes marchand de tendresse
Et jamais on n´aura ta peau
Ton cassoulet pour ta gonzesse
Et tes rengaines dans les ghettos
Pour moi, tu restes marchand de tendresse
Et jamais on n´aura ta peau
Ton cassoulet pour ta gonzesse
Et tes rengaines dans les ghettos
Les ghettos