La funambule
par Marie Cherrier
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C´est la ballade d´une ordinaire, pas courageuse pour un sou
Traîne son fiel, crée sa misère
Déchirant son cœur d´amadou
L´imbécile se méprend pour une funambule
En équilibre sur l´ fil du temps, elle se bascule
Elle ne s´est jamais retrouvée de l´un ou de l´autre côté
L´indécision et son bâton, la garde perchée
Un beau jour, un beau d´en bas accrocha son cœur en passant
Heureuse, elle le partagea mais sans descendre pour autant
De temps à autre pour plus d´union, son accroche-cœur voulait monter
Elle répondait " Pas question, le poids d´ l´amour me f´ra tomber"
Sous étendard des oiseaux jamais enfermés
En eau libre, elle coupa les ponts
Déçu, l´amoureux se lassa de cette équilibriste
Il s´éloigna, lâchant tout bas "Que tu es triste"
Mais la belle était accrochée
Et sentit son cœur s´arracher
Il n´y a pas demi-mesure, à mi-chemin de la nature
L´étendard fait depuis grise mine
Sur cette triste libertine
Et quand la pluie s´ met à tomber
Il laisse toutes les gouttes passer
Aujourd´hui, elle crie son amour
Mais le temps a fait ses ruines
Elle s´en repentit chaque jour
Casse chacune de ses épines
"Gentille conne, ton fil est bien trop étroit!
Tu décolleras mieux du sol en prenant appui sur tes pas"
{x2:}
J´ pensais pas un jour vous dire ça mais, là-dessus, je vous avoue
Qu´ la liberté, croyez-vous ça, réclame parfois la corde au cou
Traîne son fiel, crée sa misère
Déchirant son cœur d´amadou
L´imbécile se méprend pour une funambule
En équilibre sur l´ fil du temps, elle se bascule
Elle ne s´est jamais retrouvée de l´un ou de l´autre côté
L´indécision et son bâton, la garde perchée
Un beau jour, un beau d´en bas accrocha son cœur en passant
Heureuse, elle le partagea mais sans descendre pour autant
De temps à autre pour plus d´union, son accroche-cœur voulait monter
Elle répondait " Pas question, le poids d´ l´amour me f´ra tomber"
Sous étendard des oiseaux jamais enfermés
En eau libre, elle coupa les ponts
Déçu, l´amoureux se lassa de cette équilibriste
Il s´éloigna, lâchant tout bas "Que tu es triste"
Mais la belle était accrochée
Et sentit son cœur s´arracher
Il n´y a pas demi-mesure, à mi-chemin de la nature
L´étendard fait depuis grise mine
Sur cette triste libertine
Et quand la pluie s´ met à tomber
Il laisse toutes les gouttes passer
Aujourd´hui, elle crie son amour
Mais le temps a fait ses ruines
Elle s´en repentit chaque jour
Casse chacune de ses épines
"Gentille conne, ton fil est bien trop étroit!
Tu décolleras mieux du sol en prenant appui sur tes pas"
{x2:}
J´ pensais pas un jour vous dire ça mais, là-dessus, je vous avoue
Qu´ la liberté, croyez-vous ça, réclame parfois la corde au cou