Les longs parcours
par Marie-Josée Vilar
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Les longs parcours
Leurs terribles détours
Toujours imperceptiblement lourds
Où ça nous mène?
Dans des voies souterraines
Où n´entre jamais le jour
Tous les orages
Annonçant les nuages
Toujours presque essentiellement noirs
Où ça nous porte?
Derrière d´immenses portes
Fermées sur les Grands Boulevards
Qu´est-ce qui chavire
Les bateaux ou les rires
Les élans du cœur, les pétards?
Ça nous transporte
Ça nous donne une sorte
De beauté du désespoir
C´est une ruse
Quand la mort nous méduse
On fait semblant de ne pas savoir
On s´illumine
Avec des vitamines
Pour changer sa trajectoire
Il faut s´attendre
À souffler sur des cendres
Un jour ou l´autre, à changer d´histoire
Quoi que l´on fasse
Un jour, le fil se casse
Leurs terribles détours
Toujours imperceptiblement lourds
Où ça nous mène?
Dans des voies souterraines
Où n´entre jamais le jour
Tous les orages
Annonçant les nuages
Toujours presque essentiellement noirs
Où ça nous porte?
Derrière d´immenses portes
Fermées sur les Grands Boulevards
Qu´est-ce qui chavire
Les bateaux ou les rires
Les élans du cœur, les pétards?
Ça nous transporte
Ça nous donne une sorte
De beauté du désespoir
C´est une ruse
Quand la mort nous méduse
On fait semblant de ne pas savoir
On s´illumine
Avec des vitamines
Pour changer sa trajectoire
Il faut s´attendre
À souffler sur des cendres
Un jour ou l´autre, à changer d´histoire
Quoi que l´on fasse
Un jour, le fil se casse