Poète
par Marina
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Ils te classent marginal,
Car tu n´as pas sût naître
À l´époque de tes maîtres
Beaudelaire ou Nerval.
Tes ancêtres ont mille ans
Et tu es là toujours.
Aux discours de ton temps,
Tu préfères un train sourd.
Tu confesses qu´il faut
Céder au modernisme,
Mais crains que nos cerveaux
N´oublient le romantisme.
N´entend pas ce qu´ils disent.
S´ils sonnent l´allali,
Moi, j´aime ta folie,
Ta fièvre d´analyse.
Réveille toi, réveille nous les sens
Et de ta plume alerte,
Apprend nous l´existence
De nos âmes qui désertent,
De nos âmes qui désertent.
Poètes, ouh, ouh,
Réveille nous les sens,
Et de ta plume alerte,
Apprend nous l´existence
De nos âmes qui désertent
Ouh, poètes, poètes, poètes,
Poètes, poètes, poètes,
Où était-ce?
Car tu n´as pas sût naître
À l´époque de tes maîtres
Beaudelaire ou Nerval.
Tes ancêtres ont mille ans
Et tu es là toujours.
Aux discours de ton temps,
Tu préfères un train sourd.
Tu confesses qu´il faut
Céder au modernisme,
Mais crains que nos cerveaux
N´oublient le romantisme.
N´entend pas ce qu´ils disent.
S´ils sonnent l´allali,
Moi, j´aime ta folie,
Ta fièvre d´analyse.
Réveille toi, réveille nous les sens
Et de ta plume alerte,
Apprend nous l´existence
De nos âmes qui désertent,
De nos âmes qui désertent.
Poètes, ouh, ouh,
Réveille nous les sens,
Et de ta plume alerte,
Apprend nous l´existence
De nos âmes qui désertent
Ouh, poètes, poètes, poètes,
Poètes, poètes, poètes,
Où était-ce?