Renaître à la vie
par Mario Pelchat
lyricscopy.com
D´hier, je ne retiens pas grand-chose
Que quelques papiers défraîchis
Dans une boîte bleue que j´ose
A peine tirer de l´oubli
J´y avais décrit mes errances
Des restes de faux paradis
Au plus fort de l´adolescence
Où je me croyais à l´abri
{Refrain:}
Depuis des lunes, je traîne
Et je brise des chaînes
Entre l´aube et la nuit
Et, une à une, mes veines
Ont usé des semaines
Pour renaître à la vie
Je voulais être un homme juste
De cœur et de corps, rien de moins
Mais je n´étais qu´un être rustre
Un égaré de grands chemins
Entre mes doutes et ma déroute
Parmi humbles et malandrins
Je l´espérais, coûte que coûte
Mon parallèle féminin
{au Refrain}
Puis il est apparu très vite
Dans mon paysage en bataille
Et, entre elle et moi, tout de suite
S´est mis à forcer les murailles
Moi, le filou, le malhabile
Elle sait parler à mon cœur
Devant les sentiments hostiles
Elle sait le faire battre en douceur
{Voix de femme:}
Depuis des lunes, je traîne
Et je brise des chaînes
Entre grain et ivraie
Et sur ses dunes, je sème
A tous vents des rengaines
Et de tendres secrets
Et sous la Lune en bohème
Sa main dans la mienne
A la vie je renais
Que quelques papiers défraîchis
Dans une boîte bleue que j´ose
A peine tirer de l´oubli
J´y avais décrit mes errances
Des restes de faux paradis
Au plus fort de l´adolescence
Où je me croyais à l´abri
{Refrain:}
Depuis des lunes, je traîne
Et je brise des chaînes
Entre l´aube et la nuit
Et, une à une, mes veines
Ont usé des semaines
Pour renaître à la vie
Je voulais être un homme juste
De cœur et de corps, rien de moins
Mais je n´étais qu´un être rustre
Un égaré de grands chemins
Entre mes doutes et ma déroute
Parmi humbles et malandrins
Je l´espérais, coûte que coûte
Mon parallèle féminin
{au Refrain}
Puis il est apparu très vite
Dans mon paysage en bataille
Et, entre elle et moi, tout de suite
S´est mis à forcer les murailles
Moi, le filou, le malhabile
Elle sait parler à mon cœur
Devant les sentiments hostiles
Elle sait le faire battre en douceur
{Voix de femme:}
Depuis des lunes, je traîne
Et je brise des chaînes
Entre grain et ivraie
Et sur ses dunes, je sème
A tous vents des rengaines
Et de tendres secrets
Et sous la Lune en bohème
Sa main dans la mienne
A la vie je renais