Ravissante môme
par Matthieu Côte
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Ô si belle enfant, ô ravissante fille
Toi fraîche comme l´onde, la rosée du printemps
La caresse du vent sur le cou des jonquilles
Tu dominais le monde du haut de tes seize ans
Tu avais le mystère des plantes vénéneuses
Dans tes yeux se noyaient d´imprudents voyageurs
Si tu étais naïve, ingénue, généreuse
Leurs lueurs trahissaient la pureté de ton cœur
Presque femme et déjà douée pour toute chose
Musicienne, orfèvre, peintre, danseuse aussi
Tes joues avaient l´éclat et la douceur des roses
Qui embrassait tes lèvres savourait l´ambroisie
Tu avais le mystère des plantes vénéneuses
Dans ton rire se perdaient d´imprudents voyageurs
Car si tu étais brillante, en tout talentueuse
Tu restais humble, délicate, tu riais de bon cœur
Ton corps d´adolescente était pour nombre d´hommes
Une carte du paradis au tracé enchanteur
Mais toi, belle innocente, tu n´croquais pas la pomme
Tu gardais à l´abri, un trésor de candeur
Tu avais le mystère des plantes vénéneuses
Sur tes formes fantasmaient d´imprudents voyageurs
Qui tous les convoitaient, ô rare pierre précieuse
Rêvant d´y explorer d´intimes profondeurs
Il avait la richesse, le pouvoir, l´influence
D´innombrables mégères se glissaient sous ses draps
Mais tu n´avais de cesse d´ignorer ses avances
Toi, ultime chimère, à l´étau de ses bras
Ignorais-tu, beauté, que quelquefois les muses
Font chavirer les âmes des faibles et des puissants
Qui pour les posséder quand elles s´y refusent
Se font violeur infâme, si femme ne consent?
Souillée, traumatisée, le regard loin et grave
Malheureuse, tu gis, tu n´es plus que douleur
De ton ventre blessé s´écoule comme une lave
Par ton vagin meurtri, un sang noir... et tu pleures
Toi fraîche comme l´onde, la rosée du printemps
La caresse du vent sur le cou des jonquilles
Tu dominais le monde du haut de tes seize ans
Tu avais le mystère des plantes vénéneuses
Dans tes yeux se noyaient d´imprudents voyageurs
Si tu étais naïve, ingénue, généreuse
Leurs lueurs trahissaient la pureté de ton cœur
Presque femme et déjà douée pour toute chose
Musicienne, orfèvre, peintre, danseuse aussi
Tes joues avaient l´éclat et la douceur des roses
Qui embrassait tes lèvres savourait l´ambroisie
Tu avais le mystère des plantes vénéneuses
Dans ton rire se perdaient d´imprudents voyageurs
Car si tu étais brillante, en tout talentueuse
Tu restais humble, délicate, tu riais de bon cœur
Ton corps d´adolescente était pour nombre d´hommes
Une carte du paradis au tracé enchanteur
Mais toi, belle innocente, tu n´croquais pas la pomme
Tu gardais à l´abri, un trésor de candeur
Tu avais le mystère des plantes vénéneuses
Sur tes formes fantasmaient d´imprudents voyageurs
Qui tous les convoitaient, ô rare pierre précieuse
Rêvant d´y explorer d´intimes profondeurs
Il avait la richesse, le pouvoir, l´influence
D´innombrables mégères se glissaient sous ses draps
Mais tu n´avais de cesse d´ignorer ses avances
Toi, ultime chimère, à l´étau de ses bras
Ignorais-tu, beauté, que quelquefois les muses
Font chavirer les âmes des faibles et des puissants
Qui pour les posséder quand elles s´y refusent
Se font violeur infâme, si femme ne consent?
Souillée, traumatisée, le regard loin et grave
Malheureuse, tu gis, tu n´es plus que douleur
De ton ventre blessé s´écoule comme une lave
Par ton vagin meurtri, un sang noir... et tu pleures