Melodoom - lieu de perdition
par Melodoom
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Melodoom - Lieu de perdition
V1
Le jour où t´écouteras ces mots sombres c´est qu´j´aurai trouvé l´audace d´enfin te mettre au monde,
Aux mains d´une mère digne, dont l´prénom et l´sourire d´la Joconde
En matière de mystère, similaires, se confondent,
Me confrontent aux chimères d´la misère à son comble,
L´amour navigue en moi mais tous les ponts tombent,
Les ports s´effondrent et les portes se ferment me font d´l´ombre.
L´équation du bonheur n´a plus les mêmes paramètres,
Baromètres brisés, des kilopascals de ma tête,
Devant leur âme soeur étonnée, comment les hommes seraient honnêtes,
Si mes données sont erronées, pourquoi je reste à sa fenêtre, fils?
Je n´ai rien d´un économiste, mais plus j´investis, moins j´en vois les bénéfices
J´ignore ce qui m´attriste l´actrice attise la catharsis,
La catastrophe sans cataclysme.
Léger comme l´hélium elle est le Valium, ta méthadone
Et commet l´hécatombe lorsque la dose n´est pas bonne, puis
Elle s´adonne, à des jeux qui jamais pardonnent,
S´abonnent à nos fantasmes et rêves qui sabordent un homme,
Même qu´à tout vouloir on s´fait tous avoir,
Se pousse à croire à tort, qu´on sert de séchoir à mouchoir
Couche d´épiderme, empêchant sa chair de s´échoir
À l´effet éphémère, efface une folie temporaire, temps perdu.
Regarde de quoi ton père a l´air,
Comment faire pour t´empêcher d´accumuler des défaites amères?
Repère, pour tempérer ton coeur têtu,
Pour éviter que mes bévues, péripéties se perpétuent
J´en perds la vue, à rester si désinvolte,
Quand l´utopie m´emporte, m´envoie des chocs de 500 volts,
Syncope, l´anomalie amène l´anémie,
Élimine le mal dans la mélanine de mon âme de mélomane,
Mine de rien, le masochisme prend place de l´héroïne
D´une présence féminine dans mon hémoglobine,
mine d´une main malhabile explore un monde où les mots dominent.
Synonymes aux dominos quand ils désignent le mysogine
J´ai désiré l´interdit, sans vouloir m´en désister,
Mon fils est averti, avant même d´avoir existé
j´ai résisté, malgré les trois angles qui m´isolent, tel
Le côté misérable d´un triangle isocèle.
Chorus
L´amour sans attention devient un lieu de perdition
Mais c´est qu´des mots sur des percussions, sans répercution
Pour faire office, de lèg de père en fils
V2
S´ensuivit d´une époque où j´étais monarque sans aile
Un genre de Jean Sans-Terre sur un cheval sans selle
Régnant sur une chambre dépourvue de sens elle,
était telle un four, victime de la ruse de la soeur d´Hansel
Un palais des glaces entre bouteilles et flasques,
Tout signe de vie s´efface entre la peau et le masque
Après la noyade, mes mots se crachent comme un ectoplasme
Mon silence en disait trop en parlant à ma place
Alors je suis le mendiant qu´on aura nanti de néant,
Ou bien le morceau de bois dans un monde d´aimant
Ca m´est égal, utilise mes mots à bon escient
Reste conscient du sens que prennent tes sentiments
Car l´amour sans attention devient un lieu de perdition
L´endroit où toute compréhension est accusée de désertion
Mais toi, je sais qu´tu n´y mettra jamais les pieds
Tu trouveras la force depuis les mots que j´t´ai dédiés
...
V1
Le jour où t´écouteras ces mots sombres c´est qu´j´aurai trouvé l´audace d´enfin te mettre au monde,
Aux mains d´une mère digne, dont l´prénom et l´sourire d´la Joconde
En matière de mystère, similaires, se confondent,
Me confrontent aux chimères d´la misère à son comble,
L´amour navigue en moi mais tous les ponts tombent,
Les ports s´effondrent et les portes se ferment me font d´l´ombre.
L´équation du bonheur n´a plus les mêmes paramètres,
Baromètres brisés, des kilopascals de ma tête,
Devant leur âme soeur étonnée, comment les hommes seraient honnêtes,
Si mes données sont erronées, pourquoi je reste à sa fenêtre, fils?
Je n´ai rien d´un économiste, mais plus j´investis, moins j´en vois les bénéfices
J´ignore ce qui m´attriste l´actrice attise la catharsis,
La catastrophe sans cataclysme.
Léger comme l´hélium elle est le Valium, ta méthadone
Et commet l´hécatombe lorsque la dose n´est pas bonne, puis
Elle s´adonne, à des jeux qui jamais pardonnent,
S´abonnent à nos fantasmes et rêves qui sabordent un homme,
Même qu´à tout vouloir on s´fait tous avoir,
Se pousse à croire à tort, qu´on sert de séchoir à mouchoir
Couche d´épiderme, empêchant sa chair de s´échoir
À l´effet éphémère, efface une folie temporaire, temps perdu.
Regarde de quoi ton père a l´air,
Comment faire pour t´empêcher d´accumuler des défaites amères?
Repère, pour tempérer ton coeur têtu,
Pour éviter que mes bévues, péripéties se perpétuent
J´en perds la vue, à rester si désinvolte,
Quand l´utopie m´emporte, m´envoie des chocs de 500 volts,
Syncope, l´anomalie amène l´anémie,
Élimine le mal dans la mélanine de mon âme de mélomane,
Mine de rien, le masochisme prend place de l´héroïne
D´une présence féminine dans mon hémoglobine,
mine d´une main malhabile explore un monde où les mots dominent.
Synonymes aux dominos quand ils désignent le mysogine
J´ai désiré l´interdit, sans vouloir m´en désister,
Mon fils est averti, avant même d´avoir existé
j´ai résisté, malgré les trois angles qui m´isolent, tel
Le côté misérable d´un triangle isocèle.
Chorus
L´amour sans attention devient un lieu de perdition
Mais c´est qu´des mots sur des percussions, sans répercution
Pour faire office, de lèg de père en fils
V2
S´ensuivit d´une époque où j´étais monarque sans aile
Un genre de Jean Sans-Terre sur un cheval sans selle
Régnant sur une chambre dépourvue de sens elle,
était telle un four, victime de la ruse de la soeur d´Hansel
Un palais des glaces entre bouteilles et flasques,
Tout signe de vie s´efface entre la peau et le masque
Après la noyade, mes mots se crachent comme un ectoplasme
Mon silence en disait trop en parlant à ma place
Alors je suis le mendiant qu´on aura nanti de néant,
Ou bien le morceau de bois dans un monde d´aimant
Ca m´est égal, utilise mes mots à bon escient
Reste conscient du sens que prennent tes sentiments
Car l´amour sans attention devient un lieu de perdition
L´endroit où toute compréhension est accusée de désertion
Mais toi, je sais qu´tu n´y mettra jamais les pieds
Tu trouveras la force depuis les mots que j´t´ai dédiés
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