Si le temps
par Michel Bühler
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Si le temps qu´a rien d´autre à faire
Nous joue un tour à sa manière
Et nous amène à dev´nir vieux
Si, dans la maison, les jours passent
Surtout que jamais ne s´efface
La malice au fond de nos yeux
Et que chaque matin renaisse
Nos gestes complices qui laissent
Des perles de lumière derrière eux
Si, au lointain, les années glissent
Que l´un dans l´autre on se blottisse
Toujours ensemble encore, nous deux
Visiteurs de ce siècle étrange
Où sans cesse les choses changent
Et plus souvent dans la douleur
Où là-bas les banquises fondent
Tandis qu´en la forêt profonde
L´éléphant, le tigre se meurent
Où l´homme assourdi, comme ivre
De sa bataille pour survivre
Ne sait plus saluer les fleurs
Nous aurons eu la chance immense
D´entrelacer nos existences
Comme on tisserait le bonheur
Sans chercher richesse ni gloire
Sur le chemin de notre histoire
Nous aurons vécu le beau temps
Avec bien sûr au long de l´âge
Quelques nuages, quelques orages
Mais c´est le lot des simples gens
Les saisons fuient à tire-d´aile
Tu restes toujours la plus belle
Pour moi, parole de vieil enfant
Et quand sonnera l´heure grêle
Alors que nos âmes se mêlent
Pour aller aux sources du vent
Pour se fondre au sources du vent
Nous joue un tour à sa manière
Et nous amène à dev´nir vieux
Si, dans la maison, les jours passent
Surtout que jamais ne s´efface
La malice au fond de nos yeux
Et que chaque matin renaisse
Nos gestes complices qui laissent
Des perles de lumière derrière eux
Si, au lointain, les années glissent
Que l´un dans l´autre on se blottisse
Toujours ensemble encore, nous deux
Visiteurs de ce siècle étrange
Où sans cesse les choses changent
Et plus souvent dans la douleur
Où là-bas les banquises fondent
Tandis qu´en la forêt profonde
L´éléphant, le tigre se meurent
Où l´homme assourdi, comme ivre
De sa bataille pour survivre
Ne sait plus saluer les fleurs
Nous aurons eu la chance immense
D´entrelacer nos existences
Comme on tisserait le bonheur
Sans chercher richesse ni gloire
Sur le chemin de notre histoire
Nous aurons vécu le beau temps
Avec bien sûr au long de l´âge
Quelques nuages, quelques orages
Mais c´est le lot des simples gens
Les saisons fuient à tire-d´aile
Tu restes toujours la plus belle
Pour moi, parole de vieil enfant
Et quand sonnera l´heure grêle
Alors que nos âmes se mêlent
Pour aller aux sources du vent
Pour se fondre au sources du vent