Madame
par Michel Dinard
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Madame, vous aimez beaucoup trop le deuil,
Ca ne sert plus à rien les larmes,
Je vous vois partir à vue d´oeil...
Madame, il faut que vous ayez souffert,
Que vous m´ayez cacher des drames,
Pour que vous viviez cet enfer
Sur la terre...
Je vous voyais splendide, vivante comme la mer,
Je vous voulais solide, forte comme un soleil,
Je vous aimais valide et là je vous vois vieille
Madame, je vois l´espoir qui fout le camp,
Même quand vous retrouvez du charme,
Dans les sourires que je vous prends...
Madame, vos yeux sont des miroirs éteints,
Qui reflettent à peine la flamme,
De quelques souvenirs lointains...
Mais en vain...
Je ne peux faire mieux que vous donner l´envie,
De ranimer ce feu, pour garder vos sourires,
De rallumer vos yeux, pour la voire refleurir...
Ta vie...
Excuse-moi pour ce, Madame...
Je n´voulais pas te faire pleurer...
Mais lorsque les repères se fanent,
On a besoin de se cacher.
Je craque, mais je suis toujours ton enfant,
Même si c´est toi qui me réclame,
Qui a besoin d´amour, maintenant...
Maman...
Mais moi je vois encore, cette femme pleine de charme,
Belle comme l´aurore, de ma vie dans ses bras,
Qui m´a montré le Nord, qui restera pour moi
Une grande dame... (x2)
Madame...
Ca ne sert plus à rien les larmes,
Je vous vois partir à vue d´oeil...
Madame, il faut que vous ayez souffert,
Que vous m´ayez cacher des drames,
Pour que vous viviez cet enfer
Sur la terre...
Je vous voyais splendide, vivante comme la mer,
Je vous voulais solide, forte comme un soleil,
Je vous aimais valide et là je vous vois vieille
Madame, je vois l´espoir qui fout le camp,
Même quand vous retrouvez du charme,
Dans les sourires que je vous prends...
Madame, vos yeux sont des miroirs éteints,
Qui reflettent à peine la flamme,
De quelques souvenirs lointains...
Mais en vain...
Je ne peux faire mieux que vous donner l´envie,
De ranimer ce feu, pour garder vos sourires,
De rallumer vos yeux, pour la voire refleurir...
Ta vie...
Excuse-moi pour ce, Madame...
Je n´voulais pas te faire pleurer...
Mais lorsque les repères se fanent,
On a besoin de se cacher.
Je craque, mais je suis toujours ton enfant,
Même si c´est toi qui me réclame,
Qui a besoin d´amour, maintenant...
Maman...
Mais moi je vois encore, cette femme pleine de charme,
Belle comme l´aurore, de ma vie dans ses bras,
Qui m´a montré le Nord, qui restera pour moi
Une grande dame... (x2)
Madame...