Déborah
par Michel Sardou
lyricscopy.com
Si tu allumes tous mes copains
Comme des chandelles à la Toussaint,
Déborah, Déborah,
Prends garde à mes coups de colère.
Ils sonnent comme éclate un tonnerre,
Déborah, Déborah.
Si j´en trouve un dans mon peignoir,
Les cheveux collés, les yeux hagards,
Déborah, ça ira mal pour toi.
La première fois, ça m´a fait rire.
Le pauvre gars n´savait plus quoi dire.
Déborah, il était plus gêné que moi.
Si tu as le feu quelque part,
Si tu n´peux pas rester un soir
Sans un homme avec toi
Fais-toi engager cantinière
Au corps des légions étrangères.
Déborah, oublie-moi.
Je n´peux pas te traiter de putain
Parce que je suis loin d´être un saint,
Mais, dis-moi, Déborah,
Si tu allumes tous mes copains
Comme le feu dans un bois de sapins
Déborah, comment appelles tu ça?
J´en ai marre de savoir le soir
Qu´un type est planqué dans l´armoire,
Déborah, Déborah,
Et pour te dire la vérité,
J´ai peur qu´il en meurt étouffé,
Déborah, Déborah.
Jure-moi qu´cette fois
C´est bien fini,
Qu´on n´sera
Qu´tous les deux dans mon lit.
Déborah, jure-le moi
Et un bon conseil, entre nous,
Souviens-toi de Pierre et du loup,
Déborah,
Déborah, il le dévora.
C´est mon dernier avertissement.
Après tu dégages comme le vent
Déborah, Déborah.
Même si je ne suis jamais jaloux,
Souviens-toi de Pierre et du loup,
Déborah, Déborah, Déborah,
Déborah il le dévora.
Comme des chandelles à la Toussaint,
Déborah, Déborah,
Prends garde à mes coups de colère.
Ils sonnent comme éclate un tonnerre,
Déborah, Déborah.
Si j´en trouve un dans mon peignoir,
Les cheveux collés, les yeux hagards,
Déborah, ça ira mal pour toi.
La première fois, ça m´a fait rire.
Le pauvre gars n´savait plus quoi dire.
Déborah, il était plus gêné que moi.
Si tu as le feu quelque part,
Si tu n´peux pas rester un soir
Sans un homme avec toi
Fais-toi engager cantinière
Au corps des légions étrangères.
Déborah, oublie-moi.
Je n´peux pas te traiter de putain
Parce que je suis loin d´être un saint,
Mais, dis-moi, Déborah,
Si tu allumes tous mes copains
Comme le feu dans un bois de sapins
Déborah, comment appelles tu ça?
J´en ai marre de savoir le soir
Qu´un type est planqué dans l´armoire,
Déborah, Déborah,
Et pour te dire la vérité,
J´ai peur qu´il en meurt étouffé,
Déborah, Déborah.
Jure-moi qu´cette fois
C´est bien fini,
Qu´on n´sera
Qu´tous les deux dans mon lit.
Déborah, jure-le moi
Et un bon conseil, entre nous,
Souviens-toi de Pierre et du loup,
Déborah,
Déborah, il le dévora.
C´est mon dernier avertissement.
Après tu dégages comme le vent
Déborah, Déborah.
Même si je ne suis jamais jaloux,
Souviens-toi de Pierre et du loup,
Déborah, Déborah, Déborah,
Déborah il le dévora.