Los angelien
par Michel Sardou
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Au sommet des collines
Dominant la vallée,
S´enroulaient des piscines
Autour des grands palmiers.
Des filles aux seins de glace
Qu´on aime copain-copine,
Parfumant des palaces,
Immenses comme est la Chine.
Des voitures qu´on ne vole pas,
Qu´on ne ferme jamais à clé
Et du soleil sur soi,
Hiver comme en été.
Des radios subsoniques
Aux D´Jockeys insensés,
Nous soufflant l´Amérique
Au fender et synthés.
Los Angélien, qui sait, tu vis comme en exil,
Un lointain Guernesey, un nouvel évangile,
Los Angélien là-bas, fragile et solitaire,
La ville est devant toi, immense comme un désert.
Quand le soleil décline,
Inondant la vallée,
Bonjour les vitamines,
Les usines à santé.
Souriant avec tendresse,
Tu plains mon désespoir
En faisant des bassesses
Pour piquer mon France-Soir.
Une jeunesse éternelle
Court sous les marronniers,
Des carrés d´immortelles
Plantés dans les allées.
Des années d´insomnie,
Des rêves tout éveillé
Et trois cents jours sans pluie
Sans rien à raconter.
Los Angélien, qui sait, tu vis comme en exil
Un lointain Guernesey, un nouvel évangile,
Los Angélien là-bas, fragile et solitaire,
La ville est devant toi, immense comme un désert.
Dominant la vallée,
S´enroulaient des piscines
Autour des grands palmiers.
Des filles aux seins de glace
Qu´on aime copain-copine,
Parfumant des palaces,
Immenses comme est la Chine.
Des voitures qu´on ne vole pas,
Qu´on ne ferme jamais à clé
Et du soleil sur soi,
Hiver comme en été.
Des radios subsoniques
Aux D´Jockeys insensés,
Nous soufflant l´Amérique
Au fender et synthés.
Los Angélien, qui sait, tu vis comme en exil,
Un lointain Guernesey, un nouvel évangile,
Los Angélien là-bas, fragile et solitaire,
La ville est devant toi, immense comme un désert.
Quand le soleil décline,
Inondant la vallée,
Bonjour les vitamines,
Les usines à santé.
Souriant avec tendresse,
Tu plains mon désespoir
En faisant des bassesses
Pour piquer mon France-Soir.
Une jeunesse éternelle
Court sous les marronniers,
Des carrés d´immortelles
Plantés dans les allées.
Des années d´insomnie,
Des rêves tout éveillé
Et trois cents jours sans pluie
Sans rien à raconter.
Los Angélien, qui sait, tu vis comme en exil
Un lointain Guernesey, un nouvel évangile,
Los Angélien là-bas, fragile et solitaire,
La ville est devant toi, immense comme un désert.