Chacun de nous tue ce qu'il aime
par Michèle Arnaud
lyricscopy.com
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Ou trop tard ou trop tôt
Avec un baiser un poème, sans un mot
C´est toujours du pareil au même
Avec des larmes sans un soupir
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Pour n´avoir plus à en souffrir
Trop peu l´on aime ou trop longtemps
On vole l´amour ou on l´achète
Le meilleur le donne, le plus fort le prend
Et pourtant, qu´il vous en souvienne
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Ou trop tard ou trop tôt
Avec un baiser un poème, sans un mot
C´est toujours du pareil au même
Avec des larmes sans un soupir
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Pour n´avoir plus à en souffrir
L´éternité dure un moment
Bientôt les coeurs se refroidissent
Geste qui trompe et voix qui ment
Mais il nous faut rendre justice
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Ou trop tard ou trop tôt
Avec un baiser un poème, sans un mot
C´est toujours du pareil au même
Avec des larmes sans un soupir
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Pour n´avoir plus à en souffrir
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Mais tous n´ont pas à en mourir
Ou trop tard ou trop tôt
Avec un baiser un poème, sans un mot
C´est toujours du pareil au même
Avec des larmes sans un soupir
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Pour n´avoir plus à en souffrir
Trop peu l´on aime ou trop longtemps
On vole l´amour ou on l´achète
Le meilleur le donne, le plus fort le prend
Et pourtant, qu´il vous en souvienne
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Ou trop tard ou trop tôt
Avec un baiser un poème, sans un mot
C´est toujours du pareil au même
Avec des larmes sans un soupir
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Pour n´avoir plus à en souffrir
L´éternité dure un moment
Bientôt les coeurs se refroidissent
Geste qui trompe et voix qui ment
Mais il nous faut rendre justice
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Ou trop tard ou trop tôt
Avec un baiser un poème, sans un mot
C´est toujours du pareil au même
Avec des larmes sans un soupir
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Pour n´avoir plus à en souffrir
Chacun de nous tue ce qu´il aime
Mais tous n´ont pas à en mourir