La guerre
par Miossec
lyricscopy.com
Là où je suis je n´ai plus vraiment le choix
Car sous les balles qui sifflent
Il y en a peut-être une pour moi
Alors je fais comme les autres
Je fais ce qu´il ne faut pas
J´en blesse plein par erreur
J´en achève même parfois
Leurs yeux sont pleins de peur
Leur yeux sont plein d´effrois
Alors je ne regarde que leur coeur
Qui explose au bout de mon bras
Ils voudraient avoir encore une heure
Ils voudraient croire encore une fois
Qu´ils rêvent que c´est l´horreur
Et que demain tout le monde se réveillera
Mais ici il n´y a plus d´heure
Ici le temps ne compte pas
Car chaque minute se bloque sous la peur
Comment te dire tu ne t´imagines pas
Ce qu´on pratique comme horreurs
Pour gagner une forêt, un lac, un bois
Ce qu´on pratique comme horreurs
Pour gagner un lac, un bois
Veux-tu que je te fredonne le bruit des canons qui tonnent
Veux-tu que je te chantonne tout cet amour qu´on dégomme
Parfois bien sûr
Je me révolte de l´intérieur
Car au dehors il ne faut pas
Dire qu´on a si peur
Dire qu´on ne peut plus, qu´on ne peut pas
Respirer toute cette puanteur
Qui vous secoue tout l´estomac
Parfois je pense à leurs frères, à leurs soeurs
A leurs pères, à leurs mères, et aux miens aussi parfois
Veux-tu que je te fredonne le bruit des canons qui tonnent
Veux-tu que je te chantonne tout cet amour qu´on dégomme
Car sous les balles qui sifflent
Il y en a peut-être une pour moi
Alors je fais comme les autres
Je fais ce qu´il ne faut pas
J´en blesse plein par erreur
J´en achève même parfois
Leurs yeux sont pleins de peur
Leur yeux sont plein d´effrois
Alors je ne regarde que leur coeur
Qui explose au bout de mon bras
Ils voudraient avoir encore une heure
Ils voudraient croire encore une fois
Qu´ils rêvent que c´est l´horreur
Et que demain tout le monde se réveillera
Mais ici il n´y a plus d´heure
Ici le temps ne compte pas
Car chaque minute se bloque sous la peur
Comment te dire tu ne t´imagines pas
Ce qu´on pratique comme horreurs
Pour gagner une forêt, un lac, un bois
Ce qu´on pratique comme horreurs
Pour gagner un lac, un bois
Veux-tu que je te fredonne le bruit des canons qui tonnent
Veux-tu que je te chantonne tout cet amour qu´on dégomme
Parfois bien sûr
Je me révolte de l´intérieur
Car au dehors il ne faut pas
Dire qu´on a si peur
Dire qu´on ne peut plus, qu´on ne peut pas
Respirer toute cette puanteur
Qui vous secoue tout l´estomac
Parfois je pense à leurs frères, à leurs soeurs
A leurs pères, à leurs mères, et aux miens aussi parfois
Veux-tu que je te fredonne le bruit des canons qui tonnent
Veux-tu que je te chantonne tout cet amour qu´on dégomme