J'ai ri… puis j'ai pleuré
par Mirane Esbly
lyricscopy.com
Lorsqu´on s´est connus et que moi, confiante,
Je m´imaginais être aimée toujours,
Je rêvais, hélas, une vie riante,
Pleine de bonheur grâce à notre amour.
Et, lorsqu´on m´ disait : Méfie-toi, ma belle,
Celui qui t´a prise avec ses serments
En a fait autant avec toutes celles
Que sut captiver ce beau donjuan.
En écoutant cela, j´ai ri,
Ah ah ah ah ah,
Et puis, j´ai répondu : Tant pis.
Mais, lorsque seule, j´ai pensé
A mon bonheur menacé,
Alors, le cœur un peu blessé,
J´ai pleuré...
Puis, pour notre enfant, toujours sans me plaindre, je fermai les yeux et,
quand tu rentras, je n´ te fis pas d´ scène. Mais à bout d´ contrainte,
un jour tout d´ même, je te dis : Voilà.
Je sais qu´une gueuse m´a pris tes tendresses.
Alors, toi, ailleurs, tu me fis : C´est vrai.
J´ai soupé de toi. J´aime une autre maîtresse.
Oh, surtout pas d´ scène. Adieu, sans regrets.
En écoutant cela,
Ah ah ah ah ah
J´ai ri
Et puis, j´ai répondu : Vas-y.
Mais, quand je t´ai vu, sans sourciller,
Sans un regard, t´en aller,
Alors, le cœur désespéré,
J´ai pleuré...
Puis, prenant soudain dans mes bras notre gosse,
Décidée à tout, je suivis tes pas
J´ te vis avec l´autre. Oh! Ce fut atroce.
Toi, tu f´sais l´ beau, riant aux éclats.
Alors, je vis rouge et, folle de souffrance,
Pour vous tuer tous deux, je levais le bras
Quand notre petiot, dans son innocence,
Se mit à crier : P´tite mère, c´est papa!
Tu t´es retourné, l´enfant a ri.
Alors, seulement, tu as compris.
Car, te souvenant du passé,
Tu m´as dit : Veux-tu me pardonner?
Et, sur mon bonheur retrouvé,
J´ai pleuré...
Je m´imaginais être aimée toujours,
Je rêvais, hélas, une vie riante,
Pleine de bonheur grâce à notre amour.
Et, lorsqu´on m´ disait : Méfie-toi, ma belle,
Celui qui t´a prise avec ses serments
En a fait autant avec toutes celles
Que sut captiver ce beau donjuan.
En écoutant cela, j´ai ri,
Ah ah ah ah ah,
Et puis, j´ai répondu : Tant pis.
Mais, lorsque seule, j´ai pensé
A mon bonheur menacé,
Alors, le cœur un peu blessé,
J´ai pleuré...
Puis, pour notre enfant, toujours sans me plaindre, je fermai les yeux et,
quand tu rentras, je n´ te fis pas d´ scène. Mais à bout d´ contrainte,
un jour tout d´ même, je te dis : Voilà.
Je sais qu´une gueuse m´a pris tes tendresses.
Alors, toi, ailleurs, tu me fis : C´est vrai.
J´ai soupé de toi. J´aime une autre maîtresse.
Oh, surtout pas d´ scène. Adieu, sans regrets.
En écoutant cela,
Ah ah ah ah ah
J´ai ri
Et puis, j´ai répondu : Vas-y.
Mais, quand je t´ai vu, sans sourciller,
Sans un regard, t´en aller,
Alors, le cœur désespéré,
J´ai pleuré...
Puis, prenant soudain dans mes bras notre gosse,
Décidée à tout, je suivis tes pas
J´ te vis avec l´autre. Oh! Ce fut atroce.
Toi, tu f´sais l´ beau, riant aux éclats.
Alors, je vis rouge et, folle de souffrance,
Pour vous tuer tous deux, je levais le bras
Quand notre petiot, dans son innocence,
Se mit à crier : P´tite mère, c´est papa!
Tu t´es retourné, l´enfant a ri.
Alors, seulement, tu as compris.
Car, te souvenant du passé,
Tu m´as dit : Veux-tu me pardonner?
Et, sur mon bonheur retrouvé,
J´ai pleuré...