Je dors sur les roses
par Mozart, L'Opéra Rock
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Trop de bruits pour trop de nuits qui pensent
Quand passe l´absence.
Dans ce bal, ton silence est un cri qui fait mal.
Je devines ton visage sur les ombres,
les souvenirs sombres m´assassinent.
Je dors sur des roses
qui signent ma croix.
La douleur s´impose mais je n´ose pas
manquer de toi
dans mes nuits
dans la pluie
dans les rires
dans le pire de ma vie.
Trop de bruits pour mon esprit qui tangue
sur mes rêves exempts, drôle de danse.
La mémoire est un puits de souffrance.
Au-dessus de ton corps défendu,
Mon amour pendu se balance.
Je dors sur des roses
qui signent ma croix.
La douleur s´impose mais je n´ose pas
effleurer les choses écloses sans toi.
Ô, ma rose, ne fane pas.
Je manque de toi
dans mes nuits
dans la pluie
dans les rires
dans le pire de ma vie.
Je hais les roses
autant que mes sanglots.
La vie s´impose,
je crois, à nouveau
à mes rêves défunts.
je veux sans fin
oser la fièvre
du parfum
des roses.
Quand passe l´absence.
Dans ce bal, ton silence est un cri qui fait mal.
Je devines ton visage sur les ombres,
les souvenirs sombres m´assassinent.
Je dors sur des roses
qui signent ma croix.
La douleur s´impose mais je n´ose pas
manquer de toi
dans mes nuits
dans la pluie
dans les rires
dans le pire de ma vie.
Trop de bruits pour mon esprit qui tangue
sur mes rêves exempts, drôle de danse.
La mémoire est un puits de souffrance.
Au-dessus de ton corps défendu,
Mon amour pendu se balance.
Je dors sur des roses
qui signent ma croix.
La douleur s´impose mais je n´ose pas
effleurer les choses écloses sans toi.
Ô, ma rose, ne fane pas.
Je manque de toi
dans mes nuits
dans la pluie
dans les rires
dans le pire de ma vie.
Je hais les roses
autant que mes sanglots.
La vie s´impose,
je crois, à nouveau
à mes rêves défunts.
je veux sans fin
oser la fièvre
du parfum
des roses.