Une nuit que je dormais par terre
par Muriel Moreno
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Une nuit que je dormais par terre
Le corps sans oreiller
Mes bras ont commencé par faire
Le tour de ma chambre à coucher
Pendant que mes doigts s´incrustaient
Dans les replis du mur
Au plafond, mes yeux étaient collés
Ainsi que ma figure
Mon propre poison coule dans mes veines {x2}
Dans ma tête se promène
Un grand chien noir à gueule de loup
C´est toujours lui qui m´enchaîne
Et qui me joue des tours
C´est encore lui qui m´entraîne
Vers les cauchemars les plus fous
Mon propre poison coule dans mes veines {x4}
Le corps sans oreiller
Mes bras ont commencé par faire
Le tour de ma chambre à coucher
Pendant que mes doigts s´incrustaient
Dans les replis du mur
Au plafond, mes yeux étaient collés
Ainsi que ma figure
Mon propre poison coule dans mes veines {x2}
Dans ma tête se promène
Un grand chien noir à gueule de loup
C´est toujours lui qui m´enchaîne
Et qui me joue des tours
C´est encore lui qui m´entraîne
Vers les cauchemars les plus fous
Mon propre poison coule dans mes veines {x4}