A féminin
par Najoua Belyzel
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Au début, rien de bien sérieux,
Juste une accroche entre amoureux.
Tu lui pardonnes au féminin,
C´est un secret, le tien, le sien.
Après tout, toi, tu n´es qu´innocence,
Et tu rêves avant tout de romance.
Va et vient, ton chagrin,
Maintenant, n´dira rien.
Puis vient le temps des fous, des chiens,
Qui t´aiment mal, te châtient bien.
Quand ils te donnent au masculin,
Tout sent l´amour à coups de poing.
Et perdue à jamais l´innocence,
Toi, tu crèves sous le poids du silence.
Va et vient, ton chagrin,
Maintenant, n´dira rien.
Mais chaque jour,
C´n´est plus l´amour,
Qui danse autour,
Seul sans secours
Tu n´as plus d´envie.
Moi qu´on dit folle et bonne à rien,
J´aimerais graver, là sur tes mains
Deux ou trois lignes, presque rien,
Un peu de chance vers un destin.
Retrouver avec toi l´innocence,
Réveiller les beaux jours d´insouciance.
Loin des chiens, prends ma main,
Laisse l´amour en chemin.
Mais ton malheur ressemble au mien,
Je n´y peux rien au féminin.
Juste une accroche entre amoureux.
Tu lui pardonnes au féminin,
C´est un secret, le tien, le sien.
Après tout, toi, tu n´es qu´innocence,
Et tu rêves avant tout de romance.
Va et vient, ton chagrin,
Maintenant, n´dira rien.
Puis vient le temps des fous, des chiens,
Qui t´aiment mal, te châtient bien.
Quand ils te donnent au masculin,
Tout sent l´amour à coups de poing.
Et perdue à jamais l´innocence,
Toi, tu crèves sous le poids du silence.
Va et vient, ton chagrin,
Maintenant, n´dira rien.
Mais chaque jour,
C´n´est plus l´amour,
Qui danse autour,
Seul sans secours
Tu n´as plus d´envie.
Moi qu´on dit folle et bonne à rien,
J´aimerais graver, là sur tes mains
Deux ou trois lignes, presque rien,
Un peu de chance vers un destin.
Retrouver avec toi l´innocence,
Réveiller les beaux jours d´insouciance.
Loin des chiens, prends ma main,
Laisse l´amour en chemin.
Mais ton malheur ressemble au mien,
Je n´y peux rien au féminin.