Comptes d'été
par Nicolas Fraissinet
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Allongés sous la treille
L´humeur en balancelle
Le corps alangui
L´humeur en balancelle
Résistant au réveil
Le corps endormi
Résistant au réveil
Le soleil en séquelle
Le corps engourdi
Le soleil en séquelle
Nos peaux foncent pareil
Le corps anobli
{Refrain:}
Mais j´entends dans le soir
Sur des faux airs de gare
La rumeur de nos corps qui s´essayent
Je l´entends dans le soir
Près des ports où s´égare
La rumeur de nos cœurs qui se rayent
Tu vois, je n´ai plus rien à dire
Quand le soleil te fait sourire
Nos peaux foncent pareil
Quand la chaleur s´en mêle
Le corps étourdi
Quand la chaleur s´en mêle
La sueur devient miel
Le corps assouvi
{au Refrain}
Je crois à l´avenir de nos futurs soupirs
Je crois à ta voix quand elle s´arrête de rire
Oh, donne-moi encore de quoi me retenir
En toi
Tu vois, je n´ai plus rien à dire
Quand le soleil te fait plaisir
La sueur devient miel
Que la pudeur s´asseye
Le corps ébloui
Que la pudeur s´asseye
Je t´inspire à l´oreille
Des torts interdits
{au Refrain}
Je crois à l´avenir de nos futurs soupirs
Je crois à ta voix quand elle m´empêche de rire
Oh, donne-moi encore de quoi me retenir
En toi
Je crois à l´avenir de nos futurs empires
Je crois à ces voies où nos corps se déchirent
Oh, donne-moi encore de quoi me dévêtir
De toi
Tu vois, je n´ai plus rien à dire
Quand le soleil te fait partir
L´humeur en balancelle
Le corps alangui
L´humeur en balancelle
Résistant au réveil
Le corps endormi
Résistant au réveil
Le soleil en séquelle
Le corps engourdi
Le soleil en séquelle
Nos peaux foncent pareil
Le corps anobli
{Refrain:}
Mais j´entends dans le soir
Sur des faux airs de gare
La rumeur de nos corps qui s´essayent
Je l´entends dans le soir
Près des ports où s´égare
La rumeur de nos cœurs qui se rayent
Tu vois, je n´ai plus rien à dire
Quand le soleil te fait sourire
Nos peaux foncent pareil
Quand la chaleur s´en mêle
Le corps étourdi
Quand la chaleur s´en mêle
La sueur devient miel
Le corps assouvi
{au Refrain}
Je crois à l´avenir de nos futurs soupirs
Je crois à ta voix quand elle s´arrête de rire
Oh, donne-moi encore de quoi me retenir
En toi
Tu vois, je n´ai plus rien à dire
Quand le soleil te fait plaisir
La sueur devient miel
Que la pudeur s´asseye
Le corps ébloui
Que la pudeur s´asseye
Je t´inspire à l´oreille
Des torts interdits
{au Refrain}
Je crois à l´avenir de nos futurs soupirs
Je crois à ta voix quand elle m´empêche de rire
Oh, donne-moi encore de quoi me retenir
En toi
Je crois à l´avenir de nos futurs empires
Je crois à ces voies où nos corps se déchirent
Oh, donne-moi encore de quoi me dévêtir
De toi
Tu vois, je n´ai plus rien à dire
Quand le soleil te fait partir