Je suis l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'homme qui a vu le blues
par Nino Ferrer
lyricscopy.com
Un blues calibre douze
Est braqué dans mes reins
Dans le banlieue de Toulouse
Où j´attends mon destin.
Je me réveille à l´aube
Et j´enfile mes vieux blues
Qui ont la semelle percée
Par le temps qui est passé.
Je prends le blues vingt-huit
Jusqu´à l´apothéose
Je descends à overdose
Et je fais le reste à pied.
Je suis l´homme qui a vu l´homme qui a vu l´homme qui a vu le blues
Je suis l´homme qui a vu l´homme qui a vu l´homme qui a vu le blues.
" To blues or not to blues "
Telle était la question
D´un très vieux blues en dièse
En vrac et d´occasion.
Je prends le blues trente-deux
Celui qui a les yeux bleus
Qu´on appelle Marinette
Et qui me fait planer.
Mais c´est un blues de vache
Elle a le cœur qui arrache
Et la narine qui tâche
Et je fais le reste à pied.
Je suis l´homme qui a vu l´homme qui a vu l´homme qui a vu le blues
Je suis l´homme qui a vu l´homme qui a vu l´homme qui a vu le blues.
Oui je suis l´homme qui est tombé dans un trou, après avoir marché
Dans une crotte de chien oubliée là par un passant malsain
Qui avait mangé de la mortadelle à dîner... Hou... Hou!
Je suis cet homme qui a perdu ses clefs
Dans un ascenseur bondé
Et qui marche tout seul dans le boulevard Beaumarchais
A trois heures du matin par une nuit sans étoiles
Alors qu´il faisait si bon sur le pont Marcel Dupont
Et qui vend des sandwichs merguez
Dans un bar de l´Alpe-d´Huez, où il avait quelques copains
Oui je suis l´homme qui défonce les portes ouvertes
Et dépucelle les nourrices
Oui je suis l´homme
Je suis cet homme, ha ha...
Je me souviens d´un soir
Où je l´ai rencontré
Dans les années soixante à l´Olympia
Il était en train de chanter
" Sitting on the docks on the Bay. "
Est braqué dans mes reins
Dans le banlieue de Toulouse
Où j´attends mon destin.
Je me réveille à l´aube
Et j´enfile mes vieux blues
Qui ont la semelle percée
Par le temps qui est passé.
Je prends le blues vingt-huit
Jusqu´à l´apothéose
Je descends à overdose
Et je fais le reste à pied.
Je suis l´homme qui a vu l´homme qui a vu l´homme qui a vu le blues
Je suis l´homme qui a vu l´homme qui a vu l´homme qui a vu le blues.
" To blues or not to blues "
Telle était la question
D´un très vieux blues en dièse
En vrac et d´occasion.
Je prends le blues trente-deux
Celui qui a les yeux bleus
Qu´on appelle Marinette
Et qui me fait planer.
Mais c´est un blues de vache
Elle a le cœur qui arrache
Et la narine qui tâche
Et je fais le reste à pied.
Je suis l´homme qui a vu l´homme qui a vu l´homme qui a vu le blues
Je suis l´homme qui a vu l´homme qui a vu l´homme qui a vu le blues.
Oui je suis l´homme qui est tombé dans un trou, après avoir marché
Dans une crotte de chien oubliée là par un passant malsain
Qui avait mangé de la mortadelle à dîner... Hou... Hou!
Je suis cet homme qui a perdu ses clefs
Dans un ascenseur bondé
Et qui marche tout seul dans le boulevard Beaumarchais
A trois heures du matin par une nuit sans étoiles
Alors qu´il faisait si bon sur le pont Marcel Dupont
Et qui vend des sandwichs merguez
Dans un bar de l´Alpe-d´Huez, où il avait quelques copains
Oui je suis l´homme qui défonce les portes ouvertes
Et dépucelle les nourrices
Oui je suis l´homme
Je suis cet homme, ha ha...
Je me souviens d´un soir
Où je l´ai rencontré
Dans les années soixante à l´Olympia
Il était en train de chanter
" Sitting on the docks on the Bay. "