Dans un concours de circonstances
Où je traînais mes pompes en peau
J´ai gagné toute ta confiance
J´ai cru que c´était le gros lot
Comme un éléphant sans défenses
Dans un magasin d´porcelaine
J´me débats avec élégance
Pour qu´tu donnes du lâche à ma chaîne

Tu m´colles
J´trouve vraiment pas d´autres mots
Tu m´colles, comme
Le tee-shirt que j´ai sur la peau

Tu m´avais pas dit qu´t´étais folle
Quand on est rentré l´premier soir
Tu m´as attrapé par le col
Et m´as plaqué contre l´armoire
Tu m´as attaché, mis les m´nottes
J´me suis r´trouvé saucissonné
Puis t´as tout enlevé sauf tes bottes
J´te croyais pas aussi sonnée

Tu m´cognes
J´trouve vraiment pas d´autres mots
Tu m´cognes, comme
Un boxeur qui veut son K.O.
(Vas-y mon Jacquot, vas-y!)

Depuis, des vertes et des pas mûres
J´en ai subi comme jamais un homme
J´veux sortir d´la déconfiture
Mais ça tombe toujours sur ma pomme
Moi j´te dis stop, je mets les pouces
Arrête ou j´te mets à l´index
Loin d´moi l´idée d´avoir la frousse
Mais ton train d´vie c´est trop complexe

Tu m´cognes
J´trouve vraiment pas d´autres mots
Tu m´cognes, comme
Un boxeur qui veut son K.O.
(Vas-y mon gars!)

Non, j´trouve pas d´autres mots