Lerega elayih (berceuse)
par Nourith
lyricscopy.com
Cette chanson écrite à la mémoire d´une petite fille, Hen.
Les analyses avaient mis à jour
que sa mère ne pourrait pas avoir d´enfant.
Cinq années de traitement furent nécessaire
pour que Hen naisse malgré tout en éprouvette.
Elle est hélas morte un an plus tard.
La fille de Jean-Pierre est née ce même jour.
Nous en avons écrit cette chanson de deuil et d´espoir.
Six mois après le décès de sa fille,
cette mère est miraculeusement tombée enceinte de façon naturelle.
La berceuse que tu aimais, je la chante encore
Et toi, tu fermes les yeux.
Soudain une voix s´approche et m´appelle,
La pierre alors se change en eau.
Te voilà courant dans mes bras
caressant mes joues-
les yeux vers la lumière.
tu n´es jamais devenue grande,
mais maman insiste, elle chante pour toi,
immobile dans le froid.
silencieusement Les larmes coulent
elle cherche ta voix, ton visage.
Tu n´as plus mal maintenant
tu dors et la paix de l´automne repose sur toi
Tu reviens dans mes nuits,
pour caresser mon visage,
Il n´est pas de bonheur plus grand
Et moi dans mes rêves je murmure:
" Mon dieu, ne me réveille pas ".
être avec toi, rien qu´un instant
j´enlacerai tes épaules
être avec toi, rien qu´un instant
je chasserai mon chagrin éternel
Ton rire est encore là
mais quand vient le jour,
je n´entends pas tes pas
Et la vie continue,
les gens sourient
et moi, je chante pour toi.
Les analyses avaient mis à jour
que sa mère ne pourrait pas avoir d´enfant.
Cinq années de traitement furent nécessaire
pour que Hen naisse malgré tout en éprouvette.
Elle est hélas morte un an plus tard.
La fille de Jean-Pierre est née ce même jour.
Nous en avons écrit cette chanson de deuil et d´espoir.
Six mois après le décès de sa fille,
cette mère est miraculeusement tombée enceinte de façon naturelle.
La berceuse que tu aimais, je la chante encore
Et toi, tu fermes les yeux.
Soudain une voix s´approche et m´appelle,
La pierre alors se change en eau.
Te voilà courant dans mes bras
caressant mes joues-
les yeux vers la lumière.
tu n´es jamais devenue grande,
mais maman insiste, elle chante pour toi,
immobile dans le froid.
silencieusement Les larmes coulent
elle cherche ta voix, ton visage.
Tu n´as plus mal maintenant
tu dors et la paix de l´automne repose sur toi
Tu reviens dans mes nuits,
pour caresser mon visage,
Il n´est pas de bonheur plus grand
Et moi dans mes rêves je murmure:
" Mon dieu, ne me réveille pas ".
être avec toi, rien qu´un instant
j´enlacerai tes épaules
être avec toi, rien qu´un instant
je chasserai mon chagrin éternel
Ton rire est encore là
mais quand vient le jour,
je n´entends pas tes pas
Et la vie continue,
les gens sourient
et moi, je chante pour toi.