Assez
par O2zen
lyricscopy.com
Des pressions quotidiennes assez
Dépressions à la chaine assez
Surplus d´consommation assez
Des tentatives veines assez.
Du virus de la haine assez...
De ces immolations assez
D´la manipulation assez
De devoir dire amen assez
Des ricains qui s´ramènent assez
Des forces démonstrations assez
Des fausses révolutions assez
Assez, assez, assez
C´est les guerres qu´on exporte,
Les valeurs qu´on colporte,
La pudeur qu´on escroque,
Le malaise qu´on importe.
...C´est peut être l´inverse, peu importe...
La chaleur qu´on oublie,
La patiente qui faibli.
C´est la connexion, c´est le haut débit.
C´est mon téléphone et mon forfait pourrit.
C´est la dépendance qui nous régie,
La frustration qui nous envahi.
C´est le premier amour qui marque à vie,
C´est les besoins qu´on nous crée
Et la société jetable qu´on nous vend
A côté d´une poubelle déjà démodé.
C´est les carcans,
Les idées reçues,
L´enfermement,
La peur et l´aveuglement.
C´est l´individualisme triomphant.
C´est l´argent.
C´est qu´il y a pas assez d´personnes
Et trop d´gens.
C´est le vieux qui marronne,
C´est l´caïde qui s´couronne,
C´est l´prof qui méprise
C´est l´riche qui s´étonne.
C´est les médias qui déguisent,
C´est la bêtise qu´on clone.
C´est l´minet qui ce la donne,
C´est la haine qu´on attise,
La chaine qu´on brise,
Les putes qui séduisent,
Le juge qui fredonne.
C´est l´poids de l´entreprise,
C´est l´dieu, c´est l´symbole.
C´est les erreurs qu´on gomme,
L´orgueil qui rayonne,
La chance qu´on nous brise,
L´indifférence comprise par tous.
C´est l´batard qui claironne,
L´étranger qu´on soupçonne,
Les gens qui se suffisent à eux même.
Y a des lagons bleus sur la lune
M´a dit un monsieur un peu fou
Un vieux lascar des rue
Qui devait être un peu trop saoul
Y a des singes savants
Dans les écoles de Paris
M´a dit ma grand-maman
Un jour sur le quai de Bercy
Y a des tigres du Bengale
Dans le zoo de Vincennes
Félins qui crèvent le dalle
Et qu´ont pas l´allure saine
Du soleil dans les fossettes
Et mon cœur plein de fougue
Me tape des pieds à la tête
Maman m´a dit
Que la mer était verte
Là où l´homme en famille
Bronze le cerveau inerte
Papa m´a dit
Fils, rends moi fier
Deviens libellule
Dépasse les montgolfières
Alors j´ai pris du zèle
Et j´ai volé sur la planète
Plus vite que les gazelles
Plus haut que les comètes
J´ai d´mandé aux pingouins
D´aller aux Baléares
Ils m´ont dit qu´il était trop tard
La mer là-bas sent le shampooing
J´ai d´mandé aux étoiles
Pourquoi vous êtes plus à Paris
La réponse fut brutale
« Ton ciel tonton est pourri ! »
Et puis j´ai r´gardé l´être
Pour qui j´ai du dégoût
Prier à sa fenêtre
Avec 3 kilos de bijoux
Dépressions à la chaine assez
Surplus d´consommation assez
Des tentatives veines assez.
Du virus de la haine assez...
De ces immolations assez
D´la manipulation assez
De devoir dire amen assez
Des ricains qui s´ramènent assez
Des forces démonstrations assez
Des fausses révolutions assez
Assez, assez, assez
C´est les guerres qu´on exporte,
Les valeurs qu´on colporte,
La pudeur qu´on escroque,
Le malaise qu´on importe.
...C´est peut être l´inverse, peu importe...
La chaleur qu´on oublie,
La patiente qui faibli.
C´est la connexion, c´est le haut débit.
C´est mon téléphone et mon forfait pourrit.
C´est la dépendance qui nous régie,
La frustration qui nous envahi.
C´est le premier amour qui marque à vie,
C´est les besoins qu´on nous crée
Et la société jetable qu´on nous vend
A côté d´une poubelle déjà démodé.
C´est les carcans,
Les idées reçues,
L´enfermement,
La peur et l´aveuglement.
C´est l´individualisme triomphant.
C´est l´argent.
C´est qu´il y a pas assez d´personnes
Et trop d´gens.
C´est le vieux qui marronne,
C´est l´caïde qui s´couronne,
C´est l´prof qui méprise
C´est l´riche qui s´étonne.
C´est les médias qui déguisent,
C´est la bêtise qu´on clone.
C´est l´minet qui ce la donne,
C´est la haine qu´on attise,
La chaine qu´on brise,
Les putes qui séduisent,
Le juge qui fredonne.
C´est l´poids de l´entreprise,
C´est l´dieu, c´est l´symbole.
C´est les erreurs qu´on gomme,
L´orgueil qui rayonne,
La chance qu´on nous brise,
L´indifférence comprise par tous.
C´est l´batard qui claironne,
L´étranger qu´on soupçonne,
Les gens qui se suffisent à eux même.
Y a des lagons bleus sur la lune
M´a dit un monsieur un peu fou
Un vieux lascar des rue
Qui devait être un peu trop saoul
Y a des singes savants
Dans les écoles de Paris
M´a dit ma grand-maman
Un jour sur le quai de Bercy
Y a des tigres du Bengale
Dans le zoo de Vincennes
Félins qui crèvent le dalle
Et qu´ont pas l´allure saine
Du soleil dans les fossettes
Et mon cœur plein de fougue
Me tape des pieds à la tête
Maman m´a dit
Que la mer était verte
Là où l´homme en famille
Bronze le cerveau inerte
Papa m´a dit
Fils, rends moi fier
Deviens libellule
Dépasse les montgolfières
Alors j´ai pris du zèle
Et j´ai volé sur la planète
Plus vite que les gazelles
Plus haut que les comètes
J´ai d´mandé aux pingouins
D´aller aux Baléares
Ils m´ont dit qu´il était trop tard
La mer là-bas sent le shampooing
J´ai d´mandé aux étoiles
Pourquoi vous êtes plus à Paris
La réponse fut brutale
« Ton ciel tonton est pourri ! »
Et puis j´ai r´gardé l´être
Pour qui j´ai du dégoût
Prier à sa fenêtre
Avec 3 kilos de bijoux