Parallèles
par Oxmo Puccino
lyricscopy.com
Ce matin, j´ai condamné mon téléphone, j´lai mis en veilleuse
Entre deux querelles de..., des appels pour des compiles de merde.
J´ai besoin d´un monde où les choses sont plus sérieuses.
J´roule vers la B.S direction un endroit sérieux.
Si Colombo était français, il aurait ma caisse, Mafia Tipo, Fiat 91, poste cassette.
Cette rue que t´as jamais vue sûrement parallèle à la tienne,
Les mêmes sont là depuis la marelle.
Un p´tit créneau devant le café, non merci pas d´crème
J´vais chercher des croissants, j´reviens pas c´t´aprèm.
La bise aux amis, la famille, on m´commande un noisette,
Bruit d´cartes qu´on pose, le Smic se joue au poker.
Au courant de tout c´qui se perpe T R.E,
J´ai tourné dans les banlieues avant le RER E.
On prend des nouvelles : deux balles dans l´bide,
Lui a pris deux ans, lui 6 mois, une pensée au " chinois ".
[Refrain]
90 km/h sur l´A86 Cap sur le nord du 9.3, heure de l´apéritif.
Poto t´es pas un criminel, mais un trafiquant, artisan d´matières premières,
Passe l´échantillon que je m´en fabrique un.
Jeune au train de vie étrange.
Kit mains libres branché. H 24 sans calibre,
Tu t´interroges au sujet de ces grosses cylindrées,
Série 7, Porsche, Ferrari, V6, Versace cintrés,
Demande pas à quelle heure ils dorment.
Si tu vas au taf ils sont déjà dehors,
Parce qu´ils n´ont pas d´horaires pour faire des ronds.
Slalom entre balance et maisons de corrections,
Là où se font les plus grosses connections.
Gosses en manque d´affection,
Tous sous la pression d´un monde parallèle.
[Refrain]
L´aiguille tournent sur le parking, on parle de rap ou rien du tout,
De filles cools pas prises de tête, ouvertes à tout
J´t´ai vu à ton insu venir peser tes grammes
On me dit que tu passes quand ton livreurs te met en rade
La plupart de mon temps à rien faire, r´garder les gens faire
Quand tu les entends parler, tu reconnais les gangsters
Chuchotent plus de chiffres que de lettres
Ce chahut sur leur chiffre d´affaires
Ca s´taille, ressort les dossiers sexuels
Les premiers véxés deviennent vite grossiers
Ainsi va en bas des immenses barres de béton, tous en parallèles,
On s´rappelle quand j´ai le temps, on fait la même
[Refrain]
Entre deux querelles de..., des appels pour des compiles de merde.
J´ai besoin d´un monde où les choses sont plus sérieuses.
J´roule vers la B.S direction un endroit sérieux.
Si Colombo était français, il aurait ma caisse, Mafia Tipo, Fiat 91, poste cassette.
Cette rue que t´as jamais vue sûrement parallèle à la tienne,
Les mêmes sont là depuis la marelle.
Un p´tit créneau devant le café, non merci pas d´crème
J´vais chercher des croissants, j´reviens pas c´t´aprèm.
La bise aux amis, la famille, on m´commande un noisette,
Bruit d´cartes qu´on pose, le Smic se joue au poker.
Au courant de tout c´qui se perpe T R.E,
J´ai tourné dans les banlieues avant le RER E.
On prend des nouvelles : deux balles dans l´bide,
Lui a pris deux ans, lui 6 mois, une pensée au " chinois ".
[Refrain]
90 km/h sur l´A86 Cap sur le nord du 9.3, heure de l´apéritif.
Poto t´es pas un criminel, mais un trafiquant, artisan d´matières premières,
Passe l´échantillon que je m´en fabrique un.
Jeune au train de vie étrange.
Kit mains libres branché. H 24 sans calibre,
Tu t´interroges au sujet de ces grosses cylindrées,
Série 7, Porsche, Ferrari, V6, Versace cintrés,
Demande pas à quelle heure ils dorment.
Si tu vas au taf ils sont déjà dehors,
Parce qu´ils n´ont pas d´horaires pour faire des ronds.
Slalom entre balance et maisons de corrections,
Là où se font les plus grosses connections.
Gosses en manque d´affection,
Tous sous la pression d´un monde parallèle.
[Refrain]
L´aiguille tournent sur le parking, on parle de rap ou rien du tout,
De filles cools pas prises de tête, ouvertes à tout
J´t´ai vu à ton insu venir peser tes grammes
On me dit que tu passes quand ton livreurs te met en rade
La plupart de mon temps à rien faire, r´garder les gens faire
Quand tu les entends parler, tu reconnais les gangsters
Chuchotent plus de chiffres que de lettres
Ce chahut sur leur chiffre d´affaires
Ca s´taille, ressort les dossiers sexuels
Les premiers véxés deviennent vite grossiers
Ainsi va en bas des immenses barres de béton, tous en parallèles,
On s´rappelle quand j´ai le temps, on fait la même
[Refrain]