Le valet dément
par Parker
lyricscopy.com
J´ai croisé la mort tous les jours depuis toi
Des navires en feu survolant l´Alhambra
Brûler les nuages, enflammant les cieux
Même les dieux paraissaient sans voix
J´ai connu la fièvre tous les jours depuis toi
La mort martelait à mes tempes chaque temps
Une valse m´emportait d´ichor et de sang
Tu étais mon présent à chaque pas de trois
Il faudra bien que l´on apprenne
A jouer perdant après tout
J´ai espéré que tu me reviennes
A nous deux le monde était à nous
On a voyagé, on a voulu faire
Le monde à portée, un monde sans repère
On a même espéré tuer les frontières
J´ai brûlé des cierges tous les jours depuis ça
La mort ricanait de me voir garder foi
Je me suis perdu plus souvent qu´à mon tour
Quand je croisais l´amour il n´y avait que toi
Il faudra que j´apprenne
A jouer perdant après tout
J´ai espéré que tu me reviennes
A nous deux le monde était à nous
Des navires en feu survolant l´Alhambra
Brûler les nuages, enflammant les cieux
Même les dieux paraissaient sans voix
J´ai connu la fièvre tous les jours depuis toi
La mort martelait à mes tempes chaque temps
Une valse m´emportait d´ichor et de sang
Tu étais mon présent à chaque pas de trois
Il faudra bien que l´on apprenne
A jouer perdant après tout
J´ai espéré que tu me reviennes
A nous deux le monde était à nous
On a voyagé, on a voulu faire
Le monde à portée, un monde sans repère
On a même espéré tuer les frontières
J´ai brûlé des cierges tous les jours depuis ça
La mort ricanait de me voir garder foi
Je me suis perdu plus souvent qu´à mon tour
Quand je croisais l´amour il n´y avait que toi
Il faudra que j´apprenne
A jouer perdant après tout
J´ai espéré que tu me reviennes
A nous deux le monde était à nous