Et s'il fallait le faire
par Patricia Kaas
lyricscopy.com
{Fréhel:}
Et puis regarde-moi
D´abord, premièrement, c´est une chanson sentimentale
Ça se chante avec tout son cœur
Tiens, regarde!
S´il fallait le faire
J´arrêterais la Terre
J´éteindrais la lumière
Que tu restes endormi
S´il fallait pour te plaire
Lever des vents contraires
Dans un désert sans vie
Je trouverais la mer
Et s´il fallait le faire
J´arrêterais la pluie
Elle fera demi-tour
Le reste de nos vies
S´il fallait pour te plaire
T´écouter chaque nuit
Quand tu parles d´amour
J´en parlerais aussi
Que tu regardes encore
Dans le fond de mes yeux
Que tu y voies encore
Le plus grand des grands feux
Et que ta main se colle
Sur ma peau, où elle veut
Un jour si tu t´envoles
Je suivrai si je peux
Et s´il fallait le faire
Je repousserais l´hiver
À grands coups de printemps
Et de longs matins clairs
S´il fallait pour te plaire
J´arrêterais le temps
Que tous tes mots d´hier
Restent à moi maintenant
Que je regarde encore
Dans le bleu de tes yeux
Que tes deux mains encore
Se perdent dans mes cheveux
Je ferais tout plus grand
Et si c´est trop ou peu
J´aurais tort tout le temps
Si c´est ça que tu veux
Je veux bien tout donner
Si seulement tu y crois
Mon cœur veut bien saigner
Si seulement tu le vois
Jusqu´à n´être plus rien
Que l´ombre de tes nuits
Jusqu´à n´être plus rien
Qu´une ombre qui te suit
Et s´il fallait le faire
Et puis regarde-moi
D´abord, premièrement, c´est une chanson sentimentale
Ça se chante avec tout son cœur
Tiens, regarde!
S´il fallait le faire
J´arrêterais la Terre
J´éteindrais la lumière
Que tu restes endormi
S´il fallait pour te plaire
Lever des vents contraires
Dans un désert sans vie
Je trouverais la mer
Et s´il fallait le faire
J´arrêterais la pluie
Elle fera demi-tour
Le reste de nos vies
S´il fallait pour te plaire
T´écouter chaque nuit
Quand tu parles d´amour
J´en parlerais aussi
Que tu regardes encore
Dans le fond de mes yeux
Que tu y voies encore
Le plus grand des grands feux
Et que ta main se colle
Sur ma peau, où elle veut
Un jour si tu t´envoles
Je suivrai si je peux
Et s´il fallait le faire
Je repousserais l´hiver
À grands coups de printemps
Et de longs matins clairs
S´il fallait pour te plaire
J´arrêterais le temps
Que tous tes mots d´hier
Restent à moi maintenant
Que je regarde encore
Dans le bleu de tes yeux
Que tes deux mains encore
Se perdent dans mes cheveux
Je ferais tout plus grand
Et si c´est trop ou peu
J´aurais tort tout le temps
Si c´est ça que tu veux
Je veux bien tout donner
Si seulement tu y crois
Mon cœur veut bien saigner
Si seulement tu le vois
Jusqu´à n´être plus rien
Que l´ombre de tes nuits
Jusqu´à n´être plus rien
Qu´une ombre qui te suit
Et s´il fallait le faire