File le train
par Philippe Forcioli
lyricscopy.com
File le train vers l´oubli, vers le large
File ma vie les draps blancs des beaux jours
Rien ne s´arrête, tout se détruit
Tout se construit à la sueur de l´âme
Glisse mon chant, ruisselet entre pierres
Larmes de paix sur les braises du temps
Tant que les mots ont la rondeur des pommes
C´est un jardin fleuri, le cœur de l´homme
Notes, volez sous la main comme une aile
Chanson, oiseau, fais ton nid dans l´écho
Tombe la pluie sur nos chagrins suprêmes
Qui rit souvent sait l´amour des sanglots
Sanglots, grelots, enfance, ô l´éternelle
Voici poème, est-ce un cadeau?
C´est en tremblant que je l´ouvre
Secret, sacré, scellez l´alliance des fées
Ravis les fous, la pente douce
Mousse, source au bout
Lisse ma voix, les chevelures d´arbres
Frotte ton ventre au tronc d´un chêne vieux
Rien n´est pareil, tout est nouveau
Tout est bateau sur l´océan des craintes
La lumière est un puits
On y voit son œil propre qui luit
Et file le train vers l´oubli, vers le large
File ma vie les draps blancs des beaux jours
Rien ne s´arrête, tout se détruit
Tout se construit à la sueur de l´âme
Glisse mon chant, ruisselet entre pierres
Larmes de paix sur les braises du temps
Tant que les mots ont la rondeur des pommes
C´est un jardin fleuri, le cœur de l´homme
File ma vie les draps blancs des beaux jours
Rien ne s´arrête, tout se détruit
Tout se construit à la sueur de l´âme
Glisse mon chant, ruisselet entre pierres
Larmes de paix sur les braises du temps
Tant que les mots ont la rondeur des pommes
C´est un jardin fleuri, le cœur de l´homme
Notes, volez sous la main comme une aile
Chanson, oiseau, fais ton nid dans l´écho
Tombe la pluie sur nos chagrins suprêmes
Qui rit souvent sait l´amour des sanglots
Sanglots, grelots, enfance, ô l´éternelle
Voici poème, est-ce un cadeau?
C´est en tremblant que je l´ouvre
Secret, sacré, scellez l´alliance des fées
Ravis les fous, la pente douce
Mousse, source au bout
Lisse ma voix, les chevelures d´arbres
Frotte ton ventre au tronc d´un chêne vieux
Rien n´est pareil, tout est nouveau
Tout est bateau sur l´océan des craintes
La lumière est un puits
On y voit son œil propre qui luit
Et file le train vers l´oubli, vers le large
File ma vie les draps blancs des beaux jours
Rien ne s´arrête, tout se détruit
Tout se construit à la sueur de l´âme
Glisse mon chant, ruisselet entre pierres
Larmes de paix sur les braises du temps
Tant que les mots ont la rondeur des pommes
C´est un jardin fleuri, le cœur de l´homme