Le barde
par Philippe Forcioli
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En face de moi, la Grande Ourse
Puis derrière moi, la Lune en croissant
Je n´ai de chanson que ma course
Le bruit de mon pas qui va crissant
Sur les poussières et le fiel
Je veux m´endormir au ciel
{x2:}
Délivrez-moi de mes hardes
C´est nu que balade un barde
Incendié par son désir
En face de moi, la Grande Ourse
La route est douce à épouser
Mes pas sont des tambours d´amour
La Terre danse en ma chanson
Comme pinson dessus sa branche
Toutes les choses de la Terre
Que l´on connaît depuis tout p´tit
Les yeux rivés vers le mystère
Et tous ses sens épanouis
Je sais des ruisseaux et des sources
Des arbres chatouillant le ciel
Je sais des couchers de soleil
Et puis les bras, les seins des filles
Mais moi, ce que j´ préfère
Ce sont les routes
En face de moi, la Grande Ourse
Puis derrière moi, la Lune en croissant
Je n´ai de chanson que ma course
Le bruit de mon pas
Puis derrière moi, la Lune en croissant
Je n´ai de chanson que ma course
Le bruit de mon pas qui va crissant
Sur les poussières et le fiel
Je veux m´endormir au ciel
{x2:}
Délivrez-moi de mes hardes
C´est nu que balade un barde
Incendié par son désir
En face de moi, la Grande Ourse
La route est douce à épouser
Mes pas sont des tambours d´amour
La Terre danse en ma chanson
Comme pinson dessus sa branche
Toutes les choses de la Terre
Que l´on connaît depuis tout p´tit
Les yeux rivés vers le mystère
Et tous ses sens épanouis
Je sais des ruisseaux et des sources
Des arbres chatouillant le ciel
Je sais des couchers de soleil
Et puis les bras, les seins des filles
Mais moi, ce que j´ préfère
Ce sont les routes
En face de moi, la Grande Ourse
Puis derrière moi, la Lune en croissant
Je n´ai de chanson que ma course
Le bruit de mon pas