La chanson des peupliers
par Pierre Deldi
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La chanson des peupliers
- 1 -
Le soir descend sur la colline
La lune monte dans les cieux
Et les bois fleuris d´aubépine
Sont pleins de bruits harmonieux
Quelle est cette voix qui soupire
Dans la brume au déclin du jour
On dirait une immense lyre
Préludant à des chants d´amour.
Refrain
Le vent souffle dans les ramures
Dans les genêts, dans les sentiers
Entendez-vous [ces doux murmures] [bis]
C´est la chanson des peupliers. (bis)
- 2 -
Voici le choeur errant des brises
À leurs accords il vient s´unir
Se mêlant aux voix indécises
Des soirs d´été près de finir
La nuit a déployé ses voiles
Les peupliers, pleins de frissons,
Vont à la lueur des étoiles
Moduler leurs frêles chansons.
- 3 -
J´entends au fond de la vallée
Les peupliers causer entre eux
La lune un instant s´est voilée
Tout redevient silencieux
Mais un murmure au loin s´élève
Plus doux que le son du hautbois
C´est peut-être un oiseau qui rêve
Qui rêve à la fraise des bois.
- 4 -
J´ai pour amante la nature
Qui fait, parmi les verts roseaux,
Couler la source fraîche et pure
Où boivent les petits oiseaux
C´est elle qui, sur les bruyères,
Égrène les papillons bleus
Et fait chanter dans les clairières
Les peupliers mélodieux.
- 1 -
Le soir descend sur la colline
La lune monte dans les cieux
Et les bois fleuris d´aubépine
Sont pleins de bruits harmonieux
Quelle est cette voix qui soupire
Dans la brume au déclin du jour
On dirait une immense lyre
Préludant à des chants d´amour.
Refrain
Le vent souffle dans les ramures
Dans les genêts, dans les sentiers
Entendez-vous [ces doux murmures] [bis]
C´est la chanson des peupliers. (bis)
- 2 -
Voici le choeur errant des brises
À leurs accords il vient s´unir
Se mêlant aux voix indécises
Des soirs d´été près de finir
La nuit a déployé ses voiles
Les peupliers, pleins de frissons,
Vont à la lueur des étoiles
Moduler leurs frêles chansons.
- 3 -
J´entends au fond de la vallée
Les peupliers causer entre eux
La lune un instant s´est voilée
Tout redevient silencieux
Mais un murmure au loin s´élève
Plus doux que le son du hautbois
C´est peut-être un oiseau qui rêve
Qui rêve à la fraise des bois.
- 4 -
J´ai pour amante la nature
Qui fait, parmi les verts roseaux,
Couler la source fraîche et pure
Où boivent les petits oiseaux
C´est elle qui, sur les bruyères,
Égrène les papillons bleus
Et fait chanter dans les clairières
Les peupliers mélodieux.